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Chapitre 4
 J`ouvre les yeux, il fait jour, mais je ne suis pas dans mon lit, je ne suis pas chez-moi, puis me revient en mémoire le plaisr de la veille. Je me làve pour chercher Maxime qui n`est pas avec moi, je passe a la cuisine, personne, au salon, pesonne non plus, je fais le tour de la maison mais j`entend des sons étouffés qui viennent de LA pièce. Sans faire de bruits j`entre dans la pièce et aperçoit Lorka étendue sur un sac noir, elle gémit, je me demande bien pourquoi. Je m`approche et je m`aperçoit qu`il y a quelqu`un dans le sac, avec un drôle de masque sur le visage. je ne dis rien, j`observe, Lorka se roule sur le sac tout en gémissant, puis j`aperçoit un pénis sortir d`un trou, un gros pénis en érection que Lorka prend plaisir en enfuir dans son sexe. Je ne peux m`empêcher d`admirer les deux sexes ensembles gonflés, rouges, mouillés qui se taquinent mutuellement. Je ne crois pas qu`on s`apercoive que je suis là, je n`ai pas l`intention de les déranger non plus, je suis là comme simple spectatrice. Lorka est superbe dans sa nudité, de beaux seins ronds, avec des mamelons pointus, d`un brun rosé. Son sexe me semble gourmand et son anus ouvert me semble fait pour l`amour. Elle joue avec ce penis gonflé d`une facon féline, elle le laisse la pénétrer et hop elle se sauve juste avant l`explosion. J`entend l`homme à l`intérieur du sac, soufflé, gémir, comme s`il était au fond d`une caverne. Lorka se caresse le clitoris avec ses longs doigts aux ongles vernis. la blancheur de son vernis donne l`impression que son sexe est rouge comme une cerise. Finalement elle se lève, enlève le masque de l`homme et je peux enfin voir qu`il sagit de Maxime, en sueur, il respire enfin librement mais pas longtemps car Lorka lui présente son sexe et lui donne l`ordre de la faire jouir maintenant. Ses mains se dirigent vers le sexe de Maxime qu`elle tord avec force, il crie de douleur, un crie étouffé dans le sexe mouillé de Lorka. Elle m`apercoit tout près d`eux, me donne l`ordre de gouter ce sexe qui ne demande que d`être libéré de ce petit trou, pour le libérer, il n`y a qu`une fa&ccdil;on, ou lui faire cracher son jus, ou le laisser là, se relaxer pour qu`il dégonfle tout seul, mais Lorka choisi l`explosion et c`est moi qui doit le faire. Je me penche sur ce sexe qui me fais envie, je le suce,
le lèche, je sens Maxime donner des coups de reins, dans le peu d`espace que lui donne ce sac de latex. Enfin Maxime fini par exploser, je sens le sperme par jet dans le fond de ma gorge alors que Lorka danse sur la langue experte de Maxime, elle aussi explose enfin et je vois un liquide clair couler sur le visage de Maxime. Le sexe de Maxime inerte peux enfin être dégagé de ce trou qui l`éteingnait. Avec un grand sourire, Maxime est libéré du sac, en sueur, mouillé comme s`il sortait de la douche il se met à genoux devant Lorka et lui baise les pieds en guise de remerciements.
Un bon café pour nous remettre de nos émotions, Asseim se lève, les cheveux emmelés, les yeux encore gonflés de sommeil, il me regarde et me demande si j`accepte de passer le reste de la fin de semaine avec eux. Bien sûr, puisque je n`ai rien d`autre à faire de toute facon, il me demande si je suis prête à accepter une initiation? Oui, si c`est pour faire partie du nombres de leurs amis, bien sûr, c`est mon plus cher désir. On me demande de revêtir une petite robe de servante, une robe noir très courte, elle n`arrive même pas à couvrir mes fesses, un porte jartelles noir, des bas noir et pour finir un petit tablier blanc. Le haut de la robe n`arrive même pas a tout couvrir mes seins non plus mais comme on est entre nous et que le couple m`a vue les moindres recoins de ma personne, je ne m`en sens pas du tout gênée.
J`ai passé toute la journée dans cet accoutrement à servir du mieux que je le peux tout ce qu`on me demandait que ce soit un café ou d`essuyer le dos de quelqu`un qui sortait de la douche. J`ai remarqué des échange de coup d`oeil ou des sourires complices mais sans savoir à quoi ils faisaient allusions. Maxime toujours tendre me caressait les fesses quand je m`approchais de lui ou me donnait un chaud baiser mais rien de plus. À la fin du repas du soir je ramassais la vaisselles sur la table je me suis accroché les pieds dans je ne sais quoi, je soupçonne que quelqu`un me jouais un sale tour pour me faire faire des gaffes, j`ai échapper une tasse qui se brisa a milles morceaux, Asseim m`ordonne d`aller au coin, de lever ma jupe à la taille et de rester là jusqu`au prochain ordre. Moi? Dans un coin comme une gamine? J`ai eu envie de crier que c`était pas de ma faute mais je n`ai rien dis, je me suis en allé au coin, ai soulevé ma jupe à la taille et attendi.
La sonnette de la porte se fit entendre, Asseim m`ordonna de ne pas bouger, de rester comme ça, pas question de bouger sinon ce sera une fessée punitive des plus sévère pour moi. Ne voulant pas recevoir la fessée promis, je ne bougai pas d`un cheveux. Il semble que des invités arrivent, j`entend des rires, des mots de bienvenue. Cinq hommes entrent dans la cuisine suivi d`Asseim, Lorka et Maxime. Je suis là gênée, rouge comme une pivoine mais je ne bouge pas. Les hommes finissent par aller au salon, Lorka disparait je ne sais trop où, elle est pas souvent là pour m`aider celle-là. Maxime s`approche de moi et me demande de préparer un plat de légumes à trempette mais sans trempette, juste les légumes. Bizarre comme demande mais je m`exécute sans dire un mot. Je prépare donc des céleris coupés fin, des carottes, du brocoli, du choux-fleurs, enfin tout les légumes que l`on retrouve dans les trempettes. J`apporte le plat au salon en essayant de ne pas trop me pencher, j`ai pas envie que l`on se mire dans mon sexe. Comme je quitte le salon pour retourner a la cuisine, Asseim m`ordonne de me coucher sur le dos sur la table centrale du salon, un table basse. Je demande pourquoi? on me dit de faire ce que demander sans poser de question, Je me couche donc sur le dos sur cette petite table au centre
du salon. J`avais pas remarqué bracelets de cuir dans les mains de Maxime, on me met donc les bracelets aux poignets et aux chevilles, on m`attache les mains aux pattes de la tables, on glisse une corde dans les oeuillets des bracelets des chevilles et on me relève les jambes jusqu`au cou pour les attacher aux poignets. Me voilà dans une drôle de posture, le cul bien exposé le sexe ouvert tout ça aux yeux des visiteurs. Comme je commencais a exprimer mon désaccord on m`enfonce dans la bouche une boulle rouge traversée d`une lanière de cuir qui est attachée derrière ma tête. Ne pouvant plus dire quoi que ce soit j`attendi sagement la suite des évenements. On allume la télé, une partie de hockey commence. Je reste là le cul bien en vue mais personne ne s`occupe de moi. Puis un homme inconnu car on a même pas eu la gentillesse de me présenter pris un morceau de céleri s`approche de moi et je compris que la trempette c`est moi. Il entra le morceau de céleri dans mon vagin, fit un mouvement de va et viens deux fois et mangea. Je me suis appercue que j`étais très excitée, tres mouillé. La présence de ces inconnus, exposer comme ça ma vulve à des yeux inconnus m`excitait au plus haut point. Je passai une heure dans cette position, à me faire entrer des légumes que j`avais moi-meme coupés. Très excitée, enquilosée, fatiguée, on finit par me détacher de ma facheuse position. Me déplier ne fut pas facile, tout mes membres me fesaient souffrir. Pensant avoir passer le pire moment je fut surprise qu`on me dise que la soirée n`est pas terminée. On m`emmena dans LA pièce, on m`attacha les bras en arrière du dos, on me fit pencher en avant et on me souleva les bras jusqu`a ce que j`exprime un son de douleur. Penchée comme ça, je ne pouvais pas voir qui se trouvait dans LA pièce avec moi, j`avais toujours cette satanée boule dans la bouche qui me donne de la difficulté a bien respirer.
J`entendi Asseim dire aux invités de se prendre chacun un instrument de leur choix et de jouer dix minutes chacun. Un calcul vite fait, les cinquantes prochaines minutes seront les plus longues de ma vie. Je sens des mains se balader sur mes fesses, ce sont des mains que je ne reconnais pas, ce n`est donc ni Asseim ni Maxime qui est derrière moi. Je ferme les yeux, autant me concentrer pour bien recevoir les sévices que ces messieurs m`ont préparé. Clac,clac, clac, à main nue on me rougit les fesses avec fermeté. Pendant dix minutes, ces deux mains me claquent les fesses et me les caressent. J`ai la chatte brulante de désir, je sens la mouille sur les lèvres gonflées de ma chatte. Puis des mains ouvrent mon corsage, mes seins sont libres, mais pas pour longtemps, on me tire les mamelons, on me les pinces, on les tournent, tout ce que je peux faire c`est exprimer ma douleur par des sons de gorge. Dix minutes à se faire torturer les seins ça devient comme dix heures, j`ai les seins en feu, finalement un gars se glisse sous moi et me sucent les mamelons devenus si sensibles que cette caresse me semble la plus belle de toute. Dans les dix prochaines minutes je me demande bien ce qu`on me réserve. Sur mon dos je sens les lanières du fouet en latex me caresser, j`aime le fouet en latex, il masse plus qu`il ne fait mal, ca me permet un petit répit, j`ai trouvé que ces dix minutes ont passé très vite. Ca fait trente minutes que je suis attachée comme ça, j`ai mal aux bras, mal aux épaules, j`ai hâte que ce soit fini. Mais que puis-je faire autre que ces messieurs veulent, je suis leur prisonnièlre.
Je suis endolorie de partout mais je dois aller jusqu`au bout, on m`enlève la boule de la bouche, enfin je peux respirer, mais je ne dis rien de peur qu`on me la remette. Je ne vois personne près de moi, ils sont tous derrière moi, je ne sais pas à qui est le tour et j`attend, sagement. Clac, je crie de douleur, je ne sais pas ce que c`est mais mes fesses sont douloureuses, on me dit que c`est une palette de cuir, pendant dix minutes on s`acharne sur mes fesses brulantes, cette palette de cuir est dure mais à force de la recevoir j`ai les fesses engourdies, la douleur fait place au plaisir, j`en gémit, j`en redemande. Je sens une drôle de sensation qui part de mes entrailles, les fesses engourdies chaque coups me donne du plaisir, chaques coups font que je mouille encore plus. Puis ca s`arrête, on m`embrasse les fesses, on me dit qu`elles sont rouges a souhait, qu`elles sont superbes. Enfin c`est terminé, j`attend qu`on me détache, mais voilà que je hurle de douleur, j`avais oublié le cinquième, chaque
coup qu`il me donne de l`instrument choisi me fais hurler de douleur. Il me donne un coup et caresse l`endroit endolori doucement. Ce furent les plus longues minutes de toute cette séance. Heureusement les coups ne pleuvent pas, un coup et de longues caresses suivent. Les dix minutes écoulées, on me détache enfin, je demande quel fut le dernier instrument choisi, on me montre une cane en fibre de verre, je compris pourquoi tant de douleur.
On me félicite de mon courage, de mon endurance et on m`ordonne de me retirer dans ma chambre. Maxime m`accompagne, je m`accroche a lui, les fesses brulante mais le désir innasouvi. Il m`aide à me coucher dans le lit, au contact des draps et de mon poids sur mes fesses je laisse échapper un cris, mais Maxime s`occupe de me soulager avec de douces caresses. Jamais Maxime me fit l`amour comme ce soir là, il me dit que j`ai passée l`initiation avec brio, qu`il était fier de moi. Ce soir là j`ai atteint le septieme ciel plusieurs fois, mon sexe, mes fesses, mes seins on été mis à dure épreuve mais avec tout ce supplice les caresses, les sensations m`ont semblé quintuplées. Ce fut finalement la plus belle soirée de toute ma vie, endoloris, fatiguée, crevée, satisfaite je me suis endormie du sommeil du juste.
Dimanche matin, le corps couvert de bleus, de rougeurs, je marchais avec délicatesse, la moindre secousse réveillait une douleur subie la veille, je ne pu m`assoir ce matin là pour boire mon café. Debout dans la cuisine, Maxime s`affairait à me faire mon déjeuner, Asseim et Lorka arrivèrent frais et dispos, avec un grand sourire on me félicitait encore une fois de mon courage, on me caressa mes blessures, on m`embrassa. Asseim me dit que maintenant je fais partie du groupe. Maxime m`avoua est l`esclave de Lorka depuis plusieurs années, mais qu`il n`y a pas d`amour entre eux, il voulait me faire connaitre ce monde, pour le connaitre je le connait tres bien maintenant et que je pouvais continuer à apprendre a être une bonne esclave. Je dois dire que quand je retourne tout ça dans ma tête ça parait complètement fou mais tous ces sévices recus m`ont donné du plaisir, alors pourquoi se poser des questions, plutôt vivre cette nouvelle vie tant convoitée.
Qand je regarde tout ce que j`ai passé dans cette maison, je me rend bien compte que même si je suis devenue esclave je suis quand même la reine.
J`espère que vous avez aimé cette histoire, c`est l`histoire de Vicky, la seule qu`elle connaisse mais pour elle c`est la meilleure. A bientôt j`espère.
LadyGit
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