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Valérie

 

Chapitre 4

Quelques jours plus tard je me retrouve seule dans une discothèque. Je suis là depuis environ une heure à regarder les gens, lorsqu'une femme que je ne connais pas s'approche de moi.
-La femme: salut tu es seule
Je la regarde. Elle doit avoir plus de 30 ans. Elle mesure environ 5'8", a les cheveux blonds, les yeux blues. Elle porte un tailleur noir qui lui donne un air sévère.
-Valérie: oui
- moi aussi mais j'attends des gens. Puis-je attendre avec toi?
- y a pas de problème
- mon nom est Julie
- moi c'est Valérie
Sur l'entrefais une autre femme du mème âge arrive accompagné d'une jeune fille qui ne doit pas avoir plus de 19 ans. Cette jeune fille est habillée comme une écolière. Elle porte une blouse blanche trop petite pour elle, ses gros seins sont comprimés par le tissu. Et comme elle n'a pas de soutien-gorge on voit ses grosses aréoles foncées à travers de la blouse. Comme bas elle porte une jupe bleue qui lui descend jusqu'aux genoux. Elle à les jambes nues et porte des souliers à talons plats.
-l'autre femme: salut Julie, regarde qui j'amène
- tiens salut Suzanne tu traînes une petite écolière pas très docile
-elle a fait beaucoup de progrès depuis la dernière fois que tu l'as vue. Regarde
et s'adressant à cette écolière
-lève ta jupe
L'écolière sans rouspéter prend sa jupe et la lève en plein milieu de la discothèque, laissant voir un sexe rasé
-regarde je l'ai rasé pour permettre un meilleur accès à ce con toujours en feu
Je regarde le sexe fasciné. C'est la première fois que je vois un pubis sans poil. De cette façon elle ressemble encore plus à une jeune écolière. Je me sens toute excité. Je sens surtout que je viens peut-ètre de rencontrer des femmes pouvant me permettre de réaliser mes fantasmes.
- Remet ta robe t'as pas honte de te montrer ton con à tout le monde. Tu seras puni à la maison pour autant d'effronterie
Suzanne me regarde
- tu me présentes
- C'est Valérie, on vient de faire connaissance
-madame est jolie. Mais trève de compliment je dois te quitter, je veux rentrer tôt pour punir cette petite écolière qui n'a fait que des bètises aujourd'hui Suzanne et son écolière nous quittent me laissant de nouveau seule avec Julie.
- C'est mon amie Suzanne avec son esclave. Je m'ennuis ici tu as envie de venir chez moi, on pourrait discuter
Je sais que je devrais dire non mais depuis le temps que je rève qu'une femme me domine.
-oui j'aimerais bien aller chez vous
On quitte la discothèque et on se dirige vers la maison de Julie. Dans l'auto on n'échange que des banalités. On arrive enfin chez elle.
- viens rentre, fait comme chez toi
Je rentre dans cette belle maison bien meublée
-C'est beau chez vous
-merci, j'aime beaucoup la décoration, viens on va passer au sous-sol
Je suis un peu surprise par le lieu. On se dirige donc vers le sous-sol. La surprise est totale. Je me retrouve au milieu d'un donjon comme on en voit au cinéma. Sur les murs on retrouve plein d'instruments de torture comme des pinces de toutes sortes, des fouets de tous genres. Au centre il y a une chaise et au dessus il y a une poulie. Tout autour de ces derniers on retrouve des bouts de corde.
-surprise en. Écoute beauté ici on ne joue pas. Je te laisse le choix entre partir maintenant ou te déshabiller. Si tu choisis de te déshabiller tu devras m'obéir en tout point et partir seulement lorsque je te le dirais. Alors à toi de choisir tu te déshabilles ou tu pars.
Je suis confuse, mais depuis le temps que je pense à ce moment. Je commence donc à me déshabiller.
- je savais que tu te déshabillerais ma salope j'ai vu cela dans tes yeux lorsque tu regardais cette belle écolière. A partir de maintenant tu dois m'appeler maîtresse d'accord
-oui
- oui qui?
-oui maîtresse
- alors à poils plus vite que ça, je sens que nous allons bien nous amuser
Je continu à me déshabiller. Je me retrouve finalement nue devant elle.
- dis donc tu as des beaux gros nichons. Assis toi sur la chaise.
J'exécute son ordre, m'assoyant sur la chaise les jambes écartées
- madame comprend vite, tu écartes tes jambes comme si c'était naturel. Met tes mains derrière ton dos de l'autre côté du dossier
Elle s'approche de moi et sans avertir saisit un mamelon et tire dessus
-ail ça fait mal
- je suis certaine que ce n'est pas la première fois qu'une femme te poigne les boules de cette façon. Vrai ou faux
- c'est vrai
- voyez-vous ça madame est une habituée
Julie tire encore plus fort sur mon mamelon, je le sens gonfler entre ses doigts
- Ça semble t'exciter ma salope ton mamelon est tout gros entre mes doigts.
Je laisse aller une plainte de douleur
- aaaah!
Julie se penche et m'attache les jambes aux pieds de la chaise puis les mains derrière le dos. Elle se relève, poigne mes deux mamelons et leurs impose une torsion que jamais je n'avais osé faire
- ail ça fait mal arrèter aaaah!
Pour toute réponse Julie tord encore plus fort, je sens la douleur partout sur mes seins.
- ail ça fais trop mal mais que c'est bon, je mouille aaah! oui...
- attend on va améliorer ton sort, on va attacher tes gros nichons. Ils sont parfaits pour ce genre de truc
Elle se penche et ramasse un long bout de corde. Elle l'approche de mes seins. Elle soulève un sein puis passe une extrémité de la corde entre ce dernier et ma poitrine. Elle remonte la corde jusqu'à la naissance du sein puis commence à tourner la corde autour de ce dernier. Elle sère si fort que je vois mon sein gonfler, il commence à devenir rouge. Après avoir fait quelques tours elle passe l'autre extrémité de la corde sous l'autre sein puis recommence le mème manège. Lorsque mes deux seins sont biens enroulés, elle passe la corde en "X" au milieu de ma poitrine afin de pouvoir encore mieux les serrer. Lorsqu'elle a terminé, mes seins sont gonflés de sang, ils sont rouges et pointent vers le haut. Je les sens comprimé, on dirait qu'ils vont éclater. La sensation de la corde sur mes seins est merveilleuses je mouille de plaisir.
- ail j'ai mal aux seins, les cordes sont trop serrées
-veux-tu que je te détache
- non maîtresse faite ce que vous voulez avec mes gros seins. Ils ne désirent que ça.
Julie va sur le mur chercher des pinces comme j'en ai à l'appartement. Elle les met sur mes mamelons et commence à tirer sur la chaîne.
- oui tirez oui tirez fort maîtresse c'est bon aaaah! aaah!
La sensation de mes seins attachés sur lequel on tire est merveilleuse mais aussi douloureuse. Julie se penche et prend ce qu'on appel un martinet. C'est un fouet composé de cinq lanières de cuir d'environ 10". Elle assène un coup sur un sein. La surprise est totale. Je hurle de douleur
- ail arrèté
Mais julie continue. Elle fouette mes seins avec une vigueur peu commune. Déjà qu'ils me faisaient mal la sensation du fouet empire la douleur, je mouille, j'aime sentir mes seins souffrir, j'aime les voir se faire fouetter. Je laisse aller un long gémissement de plaisir.
- aaaah oui continuez à fouetter mes seins ça me fait mouiller ooooh! oui je sens que je mouille.
Julie arrèt et me détache les pieds.
- lèves-toi
Je me lève en me demandant ce qui va suivre. Debout je vois mes seins qui sont striés de bandes rouges laissées par le fouet. Mes mamelons sont gonflés et rouges. Sans avertissement Julie me poigne les cheveux et tire dessus.
- ail ouch!
Tout en tirant sur mes cheveux elle me force à me pencher vers l'arrière, lui offrant ainsi mes seins. Et d'une claque puissante de la main elle frappe un sein. Une pluie de claques s'abat sur mes seins. Je cri, je hurle de douleur, je bouge pour essayer d'éviter les claques mais Julie continue.
-arrèt de bouger laisse moi frapper tes grosses boules
et elle continue de frapper. La douleur des tapes plus celle des pinces sur mes aréoles me fait grimacer et tordre de douleur. Je respire fort et par petite bouffée tellement la douleur est vive
- je vais encore te donner 10 claques, mais à chaque fois que tu bouges, pour éviter une claque, je recommence à compter à partir de zéro. Tu as compris
- oui maîtresse
Et julie me donne une première claque, je m'applique à pas bouger mème si la douleur est atroce. La deuxième claque survient puis la troisième, la quatrième, la cinquième à la sixième je ne peux m'empècher de bouger j'ai tellement mal.
- tu as bougé je recommence à zéro
-pitié ne recommencer pas à zéro j'ai trop mal aux seins
Mais Julie reprend à zéro. Cette fois je fais tous les efforts pour éviter de bouger. Lorsque le châtiment est terminé mes seins sont d'un rouge vif affreux. Jamais je n'ai eu aussi mal aux seins, mais mon côté pervers me fait aimer ce genre de châtiment, j'ai hâte à la suite des événements, je mouille comme une vraie fontaine.
- lève toi
Je me relève péniblement. Julie prend un collier sur le mur et me le passe autour du cou en prenant soin de placer l'anneau dans mon dos. Elle détache mes mains.
-met tes mains en avant
Elle me passe une paire de menottes comme celle utilisée par les policiers. Elle se penche et ramasse un long bout de corde. Elle attache une extrémité à l'anneau et tire sur la corde vers mes fesses. J'ai la tète par en arrière je ne vois que le plafond.
-Écarte tes jambes
J'obéis ayant trop peur de la correction si je ne lui obéissais pas. Elle écarte mes fesses et fait passer la corde entre les deux. Je sens cette dernière sur mon anus. Puis elle ouvre mes petites lèvres et fait passer la corde entre mes jambes directement sur mon con et sur mon gros clitoris gonflé par le plaisir. Elle tire sur la corde.
-aaaaah oui c'est bon la sensation de la corde sur mon gros "clit"
Julie remonte la corde l'attache, en tirant le plus qu'elle peut, sur celle qui retien déjà mes seins. Je sens mon clitoris comprimé par la corde. Julie imprime un mouvement de va-et-vient à la corde ce qui a pour effet de masturber mon clitoris prisonnier. La sensation est merveilleuse.
- aaaaaah! oui continu à me branler je mouille aaaaah! continu je vais jouir oui... oui... oooooh! aaaaaah!
Julie arrèt et commence à enrouler la corde autour de ma taille. Elle tire fort. J'ai de la difficulté à respirer ma taille est tellement comprimée. Finalement elle attache le dernier bout de corde à celle qui retien mes seins. J'étouffe, j'ai l'impression d'ètre dans un corset attaché trop serré. Cette position, la tète par en arrière et la taille attachée, fait ressortir mes seins et mes fesses d'une façon obscène. Julie prend mes mains et les attache à la poulie qui est au plafond. Elle remonte cette dernière. Lorsqu'elle arrèt de monter la poulie, mes pieds ne touchent presque plus à terre, m'obligeant à ètre sur la pointe des pieds. Mes bras sont tendus et mes pieds ne portent presque plus par terre. J'ai mal partout, aux seins, aux mamelons, à la taille, aux bras, aux cuisses. C'est épouvantable.
-laissez moi au moins mettre les pieds sur le sol
Pour toute réponse Julie reprend le martinet et commence à frapper mon cul tendu. Elle frappe fort et partout. A chaque coup je sens la corde me branler le clitoris. C'est douloureux et jouissant
- continu à frapper mon cul oooooh! oui frappe fort aaaah! oooh! oui...
Julie continue de frapper, je sens les lanières du martinet labourer mon cul. Mais la corde continue de me branler, je mouille je sens que je vais jouir branlé par la corde.
-oooh! oui continu je vais jouir oooh! oui... oui... continu je mouille, oui je viens aaaaaah! et je jouis dans un grand cri de plaisir.
- aaaah! aaaah! ooooh! oui oui... aaaaaah!
Julie s'approche de moi et me détache les mains, puis défait la corde qui m'entoure la taille et qui retient ma tète en arrière. Je peux enfin respirer mieux, j'en profite pour reprendre mon souffle. Julie enlève les pinces de sur mes mamelons.
- aaaaaaah! ooooh! oui caresse mes seins
Je lui tends mes seins. Pour toute réponse Julie défait la corde qui retient mes seins depuis maintenant près d'une heure. La pointe de mes seins sont rouges. Je saisis mes seins et commence à les masser pour permettre la circulation sanguine. Mes seins sont sensibles et douloureux, je les masse lentement.
- arrèt de te poigner les seins va faire ça chez vous. Habilles-toi et va-t-en je suis las
Je m'habille et fait quelques pas vers la porte
- en fin de semaine prochaine je vais à ma maison de campagne, il va y avoir suzanne et sa petite écolière. Veux-tu venir avec moi.
Je viens de vivre une de mes plus belle soirée de jouissance. Alors je n'hésite pas, surtout à l'idée de revoir Suzanne.
- oui j'ai envi de venir
- oui qui
-oui maîtresse
- alors soit près vendredi soir à 9hrs, je passerais te prendre. Tu dois m'attendre dehors et porter qu'un manteau tu dois ètre nue sous ce manteau.
Je marche vers la porte et commence à monter les marches
-oublie pas dehors à 9hrs et tu dois ètre nue sous ton manteau. Je serais à l'heure.
Je quitte la maison et rentre chez moi. Je prends une douche et me couche. Il m'est impossible de m'endormir je suis trop excité. Alors je saisis mon clitoris et commence à me masturber. Je finis par jouir et à m'endormir en pensant à ma fin de semaine prochaine.

 

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