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Nannie me traite définitivement comme une
petite fille je suis bien obligé de porter les petites socquettes, la culotte
petit bateau, le corsage blanc et la jupe plissée qui me rendent pourtant si ridicule...
Quand je fais la moue pour être la petite Louisette à maîtresse mal
m’en prend, elle me corrige comme la dernière des gamines. Jupe
retroussée, culotte baissée sur les genoux mains sur la tête mes
petites fesses recevront une cuisante correction. Nannie n’utilise plus
d’ailleurs depuis quelque temps qu’un martinet aux longues lanières de
cuir, la fessée à son goût ne laissant pas ces longues traînées
pourpres et durables si bénéfique aux caractères récalcitrants.
Nannie se contentait jusqu’à présent de me faire jouer se rôle de
gamine dans l’intimité de la maison, cette humiliation ne semble plus
la satisfaire entièrement elle voudrait me faire connaître dit elle des
dames très "joueuses". La présentation s’est faite un après midi à
l’occasion du "tea time", Maîtresse m’avait envoyé dans ma chambre
faire un peu de couture (depuis quelques temps Nannie souhaite
m’intéresser aux occupations que peut avoir une jeune fille de bonne
éducation). Je pensais que ces dames allaient se perdre dans des
papotages futiles tout l’après midi oubliant le ridicule de cette
présentation à laquelle tenait tant ma maîtresse. C’était peu
connaître ces dames plusieurs voix s’élevèrent pour rencontrer cette
petite Louisette dont leur avait tant parlé leur très chère amie.
Penaud et rouge comme une pivoine je descendis les cuisses serrées
jusqu’au salon, quelques une de ces dames ne m’étaient pas inconnues,
dames âge mure elles présentaient encore fort bien. La pharmacienne
n’eut pas de mal à reconnaître sous la jupette et le blanc corsage
dont j’étais affublé, le petit pissou à qui on avait vendu culottes
plastiques et changes. Nannie me présenta à chacune de ses amies, ces
dames étaient très curieuses pourtant timide il me fallut pourtant bien
relevé la tête quand celles ci m’adressaient la parole, les gestes
étaient on ne peut plus équivoques une grosse dame permanentée
complimenta Maîtresse sur ma tenue tout en me caressant voluptueusement
les cuisses, ses mains s’enhardirent sous ma jupette et elle trouva mes
petites fesses fort bien faites pour une gamine de mon âge. Curieuse
elle demanda à Nannie si j’étais toujours bien propre de ma personne :
" chère amie susurra Nannie, vérifiez par vous même . De nuit nous
avons quelque problèmes avec notre Louisette les changes lui sont bien
utiles mais le jour cette petite demande toujours pour aller sur le
pot. Louisette baissez votre culotte je vous prie pour que madame
puisse se rendre compte par elle même !"
L’inspection fut méticuleuse mais il
leur fallut bien admettre qu’à la blancheur de la cotonnade et la rougeur
de mes fesses je devais suivre avec Nannie la meilleure éducation qui
soit. L’étonnement de toutes vint plutôt de cette "petite chose" qui
marquait inémanquablement la nature de mon sexe, Nannie tint à souligner
que cela ne servait plus qu’avec sa permission et qu’elle n’en voyait
d’ailleurs de moins en moins intérêt; elles se mirent toutes d’accord
sur le sujet ce petit organe avec une éducation rigoureuse et
suivie serait un jour ou l’autre un petit bout bien inoffensif...
La dame permanentée de toute à l’heure s’enquerra auprès de Nannie
de la possibilité d’un petit entretien avec moi mais cette fois en
privée. Maîtresse est très prêteuse et ne n’opposa aucune objections du
moment que je lui sois rendu dans le meilleur état possible.
Amis lecteurs sachez que la grosse
dame permanentée me fit tout une leçon de choses, que les caprices des
dames sont parfois bien particuliers et que vous saurez si vous le
souhaitez qu’il faut bien obéir à la gent féminine.
Amitiés ;)
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