Pourquoi? Qui suis-je? Définitions Images Petites Annonces Guestbook Histoires Liens Ressources Faites le vous-mêmes Documentation variée Discussion

 
Un petit diable en Louisette

Nannie me traite définitivement comme une petite fille je suis bien obligé de porter les petites socquettes, la culotte petit bateau, le corsage blanc et la jupe plissée qui me rendent pourtant si ridicule... Quand je fais la moue pour être la petite Louisette à maîtresse mal m’en prend, elle me corrige comme la dernière des gamines. Jupe retroussée, culotte baissée sur les genoux mains sur la tête mes petites fesses recevront une cuisante correction. Nannie n’utilise plus d’ailleurs depuis quelque temps qu’un martinet aux longues lanières de cuir, la fessée à son goût ne laissant pas ces longues traînées pourpres et durables si bénéfique aux caractères récalcitrants. Nannie se contentait jusqu’à présent de me faire jouer se rôle de gamine dans l’intimité de la maison, cette humiliation ne semble plus la satisfaire entièrement elle voudrait me faire connaître dit elle des dames très "joueuses". La présentation s’est faite un après midi à l’occasion du "tea time", Maîtresse m’avait envoyé dans ma chambre faire un peu de couture (depuis quelques temps Nannie souhaite m’intéresser aux occupations que peut avoir une jeune fille de bonne éducation). Je pensais que ces dames allaient se perdre dans des papotages futiles tout l’après midi oubliant le ridicule de cette présentation à laquelle tenait tant ma maîtresse. C’était peu connaître ces dames plusieurs voix s’élevèrent pour rencontrer cette petite Louisette dont leur avait tant parlé leur très chère amie. Penaud et rouge comme une pivoine je descendis les cuisses serrées jusqu’au salon, quelques une de ces dames ne m’étaient pas inconnues, dames âge mure elles présentaient encore fort bien. La pharmacienne n’eut pas de mal à reconnaître sous la jupette et le blanc corsage dont j’étais affublé, le petit pissou à qui on avait vendu culottes plastiques et changes. Nannie me présenta à chacune de ses amies, ces dames étaient très curieuses pourtant timide il me fallut pourtant bien relevé la tête quand celles ci m’adressaient la parole, les gestes étaient on ne peut plus équivoques une grosse dame permanentée complimenta Maîtresse sur ma tenue tout en me caressant voluptueusement les cuisses, ses mains s’enhardirent sous ma jupette et elle trouva mes petites fesses fort bien faites pour une gamine de mon âge. Curieuse elle demanda à Nannie si j’étais toujours bien propre de ma personne : " chère amie susurra Nannie, vérifiez par vous même . De nuit nous avons quelque problèmes avec notre Louisette les changes lui sont bien utiles mais le jour cette petite demande toujours pour aller sur le pot. Louisette baissez votre culotte je vous prie pour que madame puisse se rendre compte par elle même !"

L’inspection fut méticuleuse mais il leur fallut bien admettre qu’à la blancheur de la cotonnade et la rougeur de mes fesses je devais suivre avec Nannie la meilleure éducation qui soit. L’étonnement de toutes vint plutôt de cette "petite chose" qui marquait inémanquablement la nature de mon sexe, Nannie tint à souligner que cela ne servait plus qu’avec sa permission et qu’elle n’en voyait d’ailleurs de moins en moins intérêt; elles se mirent toutes d’accord sur le sujet ce petit organe avec une éducation rigoureuse et suivie serait un jour ou l’autre un petit bout bien inoffensif... La dame permanentée de toute à l’heure s’enquerra auprès de Nannie de la possibilité d’un petit entretien avec moi mais cette fois en privée. Maîtresse est très prêteuse et ne n’opposa aucune objections du moment que je lui sois rendu dans le meilleur état possible.

Amis lecteurs sachez que la grosse dame permanentée me fit tout une leçon de choses, que les caprices des dames sont parfois bien particuliers et que vous saurez si vous le souhaitez qu’il faut bien obéir à la gent féminine.

Amitiés ;)

 

Vous pouvez contacter l'auteur par courier à: 6501413@a2points.com

 

Si vous avez des commentaires ou des suggestions, écrivez moi à: "esclave@videotron.ca"