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Ma maîtresse est une femme qui aime
à se faire obéir, elle sait bien qu’avec des garnements tel que moi il
faut savoir de montrer ferme et punir pour le plaisir de la maîtresse et
celui inavoué de l’esclave. Maîtresse est très stricte quant à ma propreté
tous les matins après la toilette je dois me présenter tout nu tel un
gamin le ferait devant sa gouvernante. Penché en avant je dois écarter mes
petites fesses, elle décalotté ensuite d’une main ferme mon petit membre.
Tout doit être impeccable, une fessée venant dans le cas contraire à
sanctionner le moindre oubli de ma part...
L’ autre nuit j’ai rêvé de "nannie" et
le matin je suis retrouvé tout mouillé dans mon lit, maîtresse est alors
rentrée dans une de ces colères qui me font rudement peur. Deux heures
plus tard nous étions chez la pharmacienne de notre petite ville ou
"nannie" expliqua sans ambages le but de sa visite devant deux autres
clients. J’ avais bien évidemment honte devant tous ces gens qui me
connaissaient d’être traité comme le pissou de la maison. La
pharmacienne s’adressa à moi comme on s’adresse à un bambin sans porter une
grande attention à ce que j’aurais pu dire. Elle sortit de son arrière
boutique un paquet de change complets à ma taille et une série de culottes
en plastique qui assureraient une protection supplémentaire; elle conseilla
à maîtresse le modèle à boutons pression celui ci permettant à la
nounou de vérifier rapidement l’état des couches...
Humilié il me fallut pourtant bien me
plier aux exigences de "nannie" chaque nuit, le jour maîtresse était
moins vigilante vacant à son travail j’avais souvent le loisir d’aller
farfouiller dans sa chambre. C ‘est pour moi un émerveillement renouvelé
que de toucher toute cette belle lingerie, quand je viens à toucher les
culotte de maîtresse je me sens vraiment bizarre. Celles qui sont roses
me font le sexe tout dure je suis alors obligé de baisser ma culotte et de
secouer ma petite queue sur ce si beau tissu. Évidemment j’ai du taché
les culottes à "nannie" et quand je je l’ai vu débouler dans ma chambre
avec la preuve irréfutable de mes agissements je n’en fus pas vraiment
étonné, la punition elle ne se résumerait pourtant pas à la fessée
habituelle...
J’ allais goûter pour la première fois
du martinet, la punition était pour maîtresse à la hauteur de la faute.
Déculotté mains sur la tête, les fesses bien exposées au coups j’eus
droit à une cuisante flagellation, pleurnicher ne servait à rien sinon
que rallonger un peu plus ma punition. Le derrière cuisant, les yeux
larmoyants maîtresse m’envoya dans ma chambre méditer sur mes bêtises.
Maîtresse est bizarre dans son comportement depuis quelque temps elle
me mène sur un chemin qui me semble des plus incongrus, elle placé dans
mon armoire à linge deux jupettes plissées, des mi bas et un corsage
en dentelles. Elle m’appelle maintenant sa petite louisette, le jour
je faisais pipi comme un grand debout; elle exige maintenant que je
fasse le petit besoin accroupi dans l’herbe comme une petite fille. Je
n’ai plus droit de jouer comme un grand elle m’a acheté tout un
nécessaire à poupées avec une dînette jusqu’ou veux t’elle bien me
mener?
Si cette aventure vous plaît la suite serait à venir ;)
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