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Les pénitences de Marguerite

 
Chapitre 5

 

Le reste du mois de novembre se passa sans nouvelle lettre de Julie, je devais régulièrement porter les bijoux et rester nu toute la soirée mais sans plus. Ce n’est qu’au début décembre qu’un jeudi soir en entrant que je trouvais une lettre me demandant d’être à sept heures demain soir nu dehors sur le perron de la porte. Toute la journée je me suis demandé ce que ferais de moi Julie cette fois si. D’autant plus que la température extérieur était de moins 10 degré celcius. à six heures trente je suis dans ma chambre entrain de me déshabiller lorsque j’entends la météo. Il fait moins 15 à l’extérieur. L’idée de me retrouver nu dehors à cette température me fait peur. à sept heures j’ouvre la porte. Le froid me saisit. Par chance la porte de notre maison est caché de la rue par une rangée d’arbres m’évitant ainsi d’être exposé au premier venu. Il fait tellement froid que mes aréoles se contractent faisant ressortir mes mamelons comme si j’étais excité. Il est sept heures dix lorsque j’entends la porte arrière se fermer et une voiture démarrer. Enfin la voiture de Julie arrête devant le perron.

- allez embarque

Je me retrouve dans la voiture où règne une certaine chaleur qui s’accroît à mesure qu’on roule.

- on va à la ferme de mes parents dans le nord de la ville

On roule ainsi pendant environ une heure trente lorsque finalement Julie tourne dans une petite entrée qui mène à une veille maison.

- on est rendu, tu vas débarquer et me suivre

Après avoir pris une valise Julie se dirige vers la grange dans laquelle on pénètre.

- c’est ici le lieu de tes souffrances pour la soirée, évidemment la température n’est pas tellement élevé mais par contre cela semble t’exciter à voir tes gros mamelons en érection

En fait nous ne sommes pas dans une grange mais plutôt dans une petite écurie dans lequel se trouve cinq chevaux. Sans avertissement, Julie attrape un mamelon et me tire vers elle. J’ai froid mais la chaleur dégagée par les chevaux crée une certaine ambiance agréable. Tout en jouant avec mon mamelon, Julie regarde un peu partout comme si elle cherchait quelque chose. Finalement elle se dirige vers un coin de l’écurie et revient avec deux grosses trappes qui servent à attraper des rats. La panique me prend que va faire Julie avec ces trappes. La réponse ne se fait pas attendre.

- à le vilain rat excité il mérite de se faire attraper

Julie promène une trappe devant un mamelon durcit par le froid puis SCHLAAAKC les mâchoires se referment brusquement sur ce dernier. La douleur est instantanée je lâche un cri de détresse.

- arrête de crier, tu as ce que tu mérite puis tiens j’ai une bonne idée pour ne pas t’entendre te plaindre

Julie prend son foulard qu’elle porte autour du cou et me le passe à travers la bouche pour ensuite l’attacher derrière ma tête. De ce façon, il m’est impossible de crier. Puis l’autre sein subit le même sort. J’ai les larmes aux yeux, les trappes me font horriblement souffrir. Elles s’écrasent mes mamelons d’une façon incroyable. Comme si cela n’était pas assez Julie attache après chaque trappe les cloches qui me sont maintenant si familière. Le poids des trappes ajouté au poids des cloches font en sorte que mes seins sont étirés d’une façon grotesque. Puis Julie prend une corde attache mes mains, passe la corde dans une poulies au plafond puis tire sur cette dernière jusqu’à temps que mes pieds ne touchent plus terre. Dans cette position tout mon corps se sens affreusement étiré. Et soudainement SCHLAAAAK un coup de martinet sur les fesses et SCHLAAAAAK, SCHLAAAAAK DEDING DEDONG DEDING DEDONG, les coups se succèdent sur tout mon corps à toute vitesse. Mon corps est projeté dans tout les sens à chaque coup étirant mes bras à vouloir me les arracher du corps. Finalement Julie arrête à bout de souffle et me détache. Elle attrape une trappe et tire dessus pour m’obliger à la suivre jusque dans un box à cheval vide.

- met toi à quatre pattes, je reviens

Lorsque Julie revient elle porte à la taille le godiche qu’elle a déjà utilisé. Elle se place derrière moi

- écarte tes fesses pour que je puisse t’enculer comme le ferait un cheval

J’écarte mes fesses et je sens le faux pénis pénétrer dans mon petit trou d’amour. Je jouis presque instantanément. Julie se retire

- tu vas passer la nuit dans ce box comme ça tu pourras te mettre dans la peau du rôle que je te réserve demain. Il y a une couverte de laine à l’entrée

Et Julie me quitte me laissant seul avec les chevaux. Je commence par retirer le foulard et les trappes, ce qui fait affreusement mal, que j’ai toujours aux seins puis je me fait une place pour dormir dans le box. Je dors très mal souffrant du froid. Le lendemain matin de bonne heure, Julie revient

- On va préparer le cheval pour sa sortie quotidienne.
Je me demande ce qu’elle veut dire. Elle prend les trappes à rat et les remet sur mes seins provoquant la même douleur intense puis attache l’extrémité d’une corde, d’environ 20 pieds, à l’une des trappes et l’autre extrémité à l’autre trappe. Finalement elle me met des oeillères comme on le ferait pour un cheval.

- avance jusqu’à ce que la corde soit tendu

J’exécute son ordre. Julie tire sur la corde comme elle le ferait pour diriger un cheval sauf que contrairement au cheval les rênes sur lesquelles elle tire sont attacher à mes seins et non à ma bouche faisant souffrir ces derniers doublement à chaque fois qu’elle tire. Elle étire le sein gauche lorsqu’elle veut que je tourne à gauche et le droit pour le côté droit. Mes seins ainsi étirés ajouté aux trappes à rats me font affreusement mal. Julie me conduit de cette façon jusqu’à une voiture qui ressemble à celle utilisé pour les courses sous harnais.

- prend les montants dans tes mains, c’est toi qui va servir de cheval

Puis Julie s’assoit dans la voiture et SCHLAAAAAK un coup de fouet sur les fesses

- allez avance

et tout en la tirant je la mène sous les coups de fouet et sous l’étirement de mes seins vers la sortie. Le froid me saisit. Une fois dehors Julie me dirige vers le centre d’une piste en terre battue qui sert à l’entraînement des chevaux.

- maintenant au trot

et pour se faire comprendre SCHLAAAAAK sur les fesses. Je me met à courir autour de la piste. Julie me guide en me fouettant et en tirant de toute ses forces sur mes seins. Finalement c’est haletante et en sueur que Julie me fait arrêter après cinq tours. On se dirige vers l’écurie où Julie me retire tout mon équipement. La fatigue aidant, la douleur est tellement intense que je manque de tomber dans les pommes lorsqu’elle enlève les trappes que j’ai aux seins. Ces derniers sont horribles à voir avec mes mamelons et mes aréoles ecrasés.

- viens on va dans la maison où tu pourras prendre une douche après cet exercice

La chaleur de l’eau me fait du bien. Je reste longtemps dans la douche et lorsque finalement je sors, Julie est nue devant moi

- viens dans la chambre, j’ai envie de jouir

Rendu dans la chambre Julie se couche et me demande de lui lécher le sexe ce que je m’applique à faire du mieux que je peux.

- aaaah ! que c’est bon, tu liches bien maintenant liche moi le cul

C’est la première fois que Julie me fait cette demande qui au début me répugne. Mais à bien y penser, j’ai déjà licher une queue qui venait de m’enculer alors pourquoi se dédain. Je présente ma langue à l’anus de Julie et commence à licher le pourtour de l’anus puis une idée me vient et sans avertir Julie je pénètre ma langue dans son anus en chaleur. L’effet est immédiat

- aaaah ! oui encule moi avec ta langue que c’est bon

et Julie de jouir après seulement quelques pénétrations. Le reste de la journée est consacré à nous faire jouir mutuellement. Julie y va d’une légère domination qui me fait que m’exciter davantage. Le soir venu, je dois lui servir le repas habillé d’un tablier. Elle est nue à table joue à la grande dame qui sonne lorsqu’elle désire quelque chose. Au qu’elle est belle ainsi. Lorsque je gaffe j’ai droit à un coup de martinet. Après le repas, j’ai droit à une séance de domination qui consiste à attacher mes seins comme des saucissons. Mais Julie semble plutôt vouloir que je m’occupe de son sexe en chaleur alors le reste de la nuit est consacré au sexe. Le lendemain matin en milieu d’avant midi, c’est le retour à la maison où Julie me donne la permission de la quitter.

Cette domination de Julie fût la dernière. En effet, un soir Julie est venue me voir pour m’annoncer qu’elle ne viendrait pas habiter avec moi à la session d’hiver préférant partager un logement avec une amie. Noël arriva et mon mari vient me voir. Les retrouvailles ne furent pas tellement joyeuse. Faire l’amour avec mon mari était devenu banal comme la pluie qui tombe. Finalement il repartit au début du mois de janvier me laissant seul avec mes désirs. Cherchant un moyen de rencontrer des maîtresses, je m’abonnais à internet et c’est par ce média que je me suis mis à rencontrer des femmes qui ont fait souffrir mon corps comme jamais allant toujours plus loin à chaque rencontre. J’étais devenu une salope qui rêvait de voir ses seins torturés, de se faire enculer et toutes les pires cochonneries qu’on peut imaginer. Je me faisais même des scénarios. Ainsi, après quelques semaines sans avoir été dominé je filais tellement chaude qu’un soir, après le travail, je suis allé dans la salle de bain me déshabiller et mettre à mes seins les pinces et les cloches que Julie m’avait laissé ainsi que les poids à mes petites lèvres et c’est ainsi paré que je suis entré dans le bureau de ma patronne pour lui demander de me punir moi qui n’avait pas terminer le travail que j’avais à faire. à partir de cette soirée ma patronne pris une place importante dans ma débauche.

Finalement, mon mari est revenu pour de bon. Mais cela n’a pas duré. Après a peine un mois de vit commune, on a décidé de divorcer. Il m’annonça qu’il avait rencontré une autre femme où il avait travaillé et qu’il partait la rejoindre. Intérieurement j’étais contente de la tournure des événements je me retrouvais de nouveau seul avec mes désirs. Depuis son départ ma vit d’esclave à repris son cours. J’ai maintenant un réseau de maîtresses qui me font souffrir sur demande. Un jour je vous conterais peut-être la suite de mes aventures, mais pour l’instant je dois aller dormir demain ma patronne m’attend.

FIN

Cette histoire a été écrite par un visiteur qui m'a permis de l'afficher...

 

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