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Les pénitences de Marguerite

 
Chapitre 4

 

Encore une fois le sommeil vient difficilement. Je repense à cette soirée où pour la première fois j’ai trompé mon mari. Une certaine honte m’envahit mais cette dernière disparaît rapidement pour laisser place à la jouissance que cette rencontre m’a procuré. Je me réveil en plein milieu de la nuit avec trois doigts enfoncés dans mon cul. Je sors mon vibrateur et me branle afin de jouir en repensant à mon aventure. Dans ma tête je pense déjà au gros vibrateur que je vais aller acheter cette fin de semaine, le mien ne pouvant plus satisfaire mon désir anal ardent. Le lendemain matin pas de trace de Julie, je me prépare donc et c’est avec une certaine crainte que je quitte la maison pour le bureau. à mon arrivée ma patronne ne me parle pas plus que l’habitude comme si de rien ne c’était passé. Elle continua de me considérer comme une des bonnes secrétaires du bureau et notre relation resta, provisoirement, strictement professionnelle à mon grand regret. Par contre je me dois de penser à Julie qui m’a demandé d’aller la rejoindre le soir même et c’est avec une certaine empressement que je quittais le bureau.

à neuf heures trente je suis devant mon miroir à examiner les marques laissées par ma rencontre d’hier soir. Mes aréoles portent encore les marques rouges laissées par les pinces et le poids. Je me demande ce que Julie va dire. Dix heures sonne, j’ouvre la porte du sous-sol et descends ces marches qui me mènent à la douleur et à la jouissance. Comme d’habitude Julie m’attend en bas. Elle porte un déshabillé noir très transparent au niveau des seins laissant ainsi très bien voir ses aréoles, ses jambes sont cachées par une paire de bas de nylon de la même couleur retenu par un porte jarretelle et aux pieds elle a mis une paire de soulier dont les talons doivent avoir au moins six pouces. Elle est très excitante dans cette tenue. Saisissant un sein elle me demande

- qui a fait ces marques sur tes gros tétons de salope ? Pourquoi étais-tu en retard hier soir ?

Je ne sais quoi répondre dois-je lui dire la vérité ou mentir et dire que je me suis fait moi même les dites marques.

- ma patronne ma surprise avec mes poids aux petites lèvres, c’est elle ainsi qu’un garde de sécurité qui mon fait ces marques et qui m’ont retenu hier soir

- Ainsi madame c’est fait dominer par une autre personne que moi, et bien ma jolie on va bien s’amuser cette fin de semaine. Mais avant laisse moi te dire que le jolie déshabillé que je porte, je l’ai payé avec le loyer du mois de novembre et j’ai aussi profité du fait pour acheter différents items qui vont servir à te faire souffrir. Donc pas de loyer pour le mois de novembre, tu le paieras de ta poche, c’est comme si c’était toi qui avait acheté les objets qui vont te faire souffrir. De plus, ta petite aventure d’hier mérite une bonne correction, tu seras donc mon esclave pour toute la fin de semaine, tu resteras nu et c’est moi qui va décider quand tu vas manger et quand tu vas aller aux toilettes. Pour commencer, met toi sous ce tuyau

Il faut savoir que le plafond de notre sous-sol est parcouru par de nombreux tuyaux qui amènent l’eau dans les calorifères. Julie me quitta un cours instant et revient avec une valise. Elle ouvrit la valise et je ne put retenir mon étonnement et ma peur à la vue des différents objets qu’elle contenait. Elle en sortie une longue corde de chanvre et commença par me l’attacher autour de la taille elle en fit plusieurs tours serrant très fort à chaque fois. Ma respiration en est rendue difficile. Puis elle se penche, prend une grosse lèvre la tasse vers ma cuisse, fait passer la corde dessus puis remontant vers l’arrière elle passe la corde entre mon dos et celle déjà en place puis revient vers l’avant pour faire subir le même sort à mon autre grosse lèvre. Elle termine cette première étape en passant la corde entre celle qui m’entoure le ventre et ce dernier faisant ainsi souffrir mes grosses lèvres tout en mettant à découvert mes petites lèvres et faisant aussi ressortir d’une façon obscène mon clitoris qui est déjà gonflé de plaisir.
Julie se recule comme pour voir le résultat. Elle revient et prend dans la valise les pinces à étaux qu’elle met à chaque sein, puis elle prend l’extrémité de la corde, l’attache à un des anneaux puis attache un autre bout de corde à l’autre sein. Le travail terminé elle fait passer les deux cordes par dessus un des tuyaux qui ornent le plafond et sans avertissement saisit les deux cordes et tire dessus de toute ses forces. La douleur est immédiate, mes deux seins sont étirés d’une façon incroyable vers le plafond et mes deux grosse lèvres sont écrasées de douleur. Je hurle mais Julie plutôt que d’arrêter le supplice prend dans la valise deux poids qui doivent peser autant sinon plus que le pistolet et les attache à l’extrémité de chaque corde se libérant ainsi les mains. Elle se penche prend un long fouet ( dont je sais maintenant qu’on appelle martinet) et se met à frapper mes fesses de toute ses forces SCHLAAAAAK SCHLAAAAK.

- tiens salope ça va t’apprendre à me tromper

et SCHLAAAAK sur une fesse. à chaque coup mon corps bouge comme une poupée de chiffon. Mes seins, mes fesses me font souffrir. Puis Julie arrêt pour prendre une pince du même type que ma patronne ma mise hier soir. Je suis entrain de me demander à quel partie de mon corps cette pince est destinée, lorsque Julie saisit mon clitoris gonflé de plaisir et pose la pince. Je sens comme une décharge électrique qui traverse mon corps tellement la douleur est vive. Mais Julie faisant fit de mes plaintes se remet à me fouetter. Tout mon corps me fait mal particulièrement mon clitoris qui n’a jamais souffert de tourment à venir jusqu’ici. Finalement Julie arrête.

- J’ai beaucoup de travail en retard alors je vais aller travailler un peu, mais je vais revenir

Julie me quitte me laissant dans cette position. Je souffre énormément mais ne me plaint pas, j’ai cherché cette correction, j’ai donc ce que je mérite. Environ deux heures plus tard, elle revient. Pour la première fois elle est nue et porte, attaché à la taille, un gobiché qui ferait pâlir d’envie le gardien de sécurité.

- penche toi un peu

Puis sans ménagement elle se met à m’enculer avec cette grosse queue de plastic

- on va punir ce cul en chaleur alors comme c’est est-ce aussi bon qu’avec le gardien allez répond

et elle ponctue sa phrase de violentes tapes sur les fesses. Elle semble en colère

- aaaaah ! oui maîtresse c’est encore meilleur, enculer mon cul en chaleur

Sa pénétration violente ainsi que sa fesser fait bouger les poids attachés à mes seins augmentant ma douleur mais Julie doit trouver que je ne souffre pas assez puisqu’elle saisit la pince que je porte au clitoris et commence à tirer dessus, à la tordre tout en continuant sa pénétration. Cette sensation de mon clitoris étiré et tordu est douloureuse mais tellement bonne que je jouis aussitôt dans une longue plainte. Julie se retire à bout de souffle et me détache.

- tu vas aller aux toilettes puis venir te coucher au pied de mon lit

C’est dans cette position que je m’endors. Cette nuit de jouissance est ponctuée de réveil pendant lesquels Julie s’amuse soit à m’enculer ou à pénétrer mon con en chaleur. à l’aube, je suis exténué. Julie se réveil et pour la première fois me demande

- viens sur le lit et suce mon sexe, c’est à moi de jouir maintenant

Je monte sur le lit et penche ma tête vers le sexe humide de Julie. C’est la première fois que je suce une femme. Je m’applique du mieux que je peux à rendre à cette dernière le plaisir que j’ai connu durant la nuit. Elle finit par jouir, sous mes coups de langue, en laissant échapper un doux liquide. C’est un moment de répit avant la suite des événements.

Le reste de la fin de semaine sera pour moi que douleur et cri. Julie s’appliquant à inventer mille tortures qui ont pour seul but ma souffrance. Je suis attaché, fouetter. Mes seins, mon clitoris sont étirés tordus bref tout mon corps subit mille tourments que j’en perd la voix. Ce n’est que le dimanche soir que Julie me permet de retourner en haut où un rapide coup d’œil à mon miroir me permet de voir toutes les marques qui ornent mon corps.

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