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Les pénitences de Marguerite

 
Chapitre 3

 

Suite à cette soirée, je pris l’habitude de m’installer moi-même les poids lorsque je me sentais chaude. J’avais trouver un morceau de foam dans lequel j’avais coupé deux morceaux que j’insérais dans les cloches pour éviter que celles-ci ne sonnent et je me masturbais et m’enculais dans la douleur. Le résultat était toujours le même: un orgasme puissant qui me faisait tourner la tête. Julie pris aussi l’habitude de me demander de porter les bijoux. Souvent la demande se faisait le matin au levée. Je devais aller mettre les poids à mes seins et sur mes petites lèvres et demeurer ainsi nue pendant qu’elle se préparait et la servir pendant qu’elle déjeunait. Si j’avais le malheur de gaffer elle me frappait avec tout ce qui lui passait entre les mains mais surtout avec une spatule. Julie savait que je commençais à travailler à huit heures et que j’avais besoin d’une trentaine de minutes en métro et à pied pour me rendre à mon lieu de travail. Alors Elle me permettait de m’habiller seulement vers sept heures vingt. J’avais alors la permission d’enlever les cloches mais je devais garder les poids attachés à mes petites lèvres et porter une jupe que je trouvais particulièrement courte.

à sept heures trente elle me laissait partir en me demandant d’avoir les poids au sexe à mon retour. Commençait alors pour moi une course vers mon lieu de travail avec ces poids au sexe qui ballottaient à chaque pas. En métro j’avais toujours peur que quelqu’un s’aperçoive que je ne portais pas de petite culotte et qu’en plus j’avais deux gros poids qui pendaient à mes petites lèvres. Cette idée quoi qu’elle me faisait peur m’excitait au plus haut point. Comme j’arrivais à mon travail toujours trop juste il m’étais impossible de me rendre à la salle de bain enlever les poids. Je devais alors endurer le supplice encore une bonne heure assise à mon bureau avant de juger que je pouvais me rendre à la salle de bain sans m’attirer la foudre de ma patronne et là tout en enlevant les poids je me masturbais et jouissais de plaisir. à la fin de la journée, je retournais à la salle de bain remettre les poids et je retournais chez-moi où Julie m’attendait.
à mon arrivé je devais me déshabiller et lui montrer que j’avais bien respecter son ordre et que je portais belle et bien les poids. Souvent elle m’obligeait à passer la soirée nue mais rarement dans ces occasions elle me punissait. Mais que de chaleur cela me procurait de rester nue une soirée entière sans jamais savoir ce qui allait m’arriver. La séance du couché commençait alors invariablement par une séance de masturbation qui me permettait de faire baisser la pression. Mais jamais pendant ces journées qui passaient Julie me laissa une lettre avec des instructions.

S’a faisait deux semaines que régulièrement Julie me demandait de me rendre à mon travail avec les poids au sexe, lorsque le jeudi elle me fit porter une robe très courte qui arrivait juste un peu plus bas des poids. En me rendant au travail, j’avais l’impression d’être nue et que tout le monde voyait mon esclavage. Plutôt que de me rendre directement à mon bureau, je décidais d’aller tout de suite enlever les poids à la salle de bain ce qui eu pour effet de me faire arriver en retard au bureau. La journée passa s’en rien de particulier si ce n’est le retard accumulé depuis des jours que je pris la peine de finaliser. Tard le soir après que tout le monde soit parti je sortais de la salle de bain, où j’étais aller remettre les poids, lorsqu’à ma grande surprise je me suis retrouvé face à ma patronne, grande femme aux cheveux noirs en chignon qui lui donnent un air sévère.

- Marguerite, viens dans mon bureau

Je suis cette dernière à travers les bureaux vides. Rendu devant son bureau

- entre et ferme la porte

Je me demande bien ce qu’elle me veut. Même si j’arrive régulièrement juste au bureau, je m’applique toujours à reprendre le temps perdu. Sa demande me surprend

- tu as été en retards ce matin, peux-tu m’expliquer pourquoi

Je ne sais quoi répondre. Je me sens rougir

- Moi je pense savoir pourquoi tu as été en retard. Lève ta jupe

- mais madame pourquoi que se passe-t-il ?

- allez lève ta jupe que je constate par moi-même si mes soupçons sont fondés

Sa voix est très autoritaire et c’est rougissant de honte que je lève ma jupe

- c’est bien ce que je pensais madame est une petite salope d’esclave qui vas dans la salle de bain enlever les bijoux qu’une personne a eu l’honneur de lui mettre. Mais dit moi qui t’a mis ces beaux bijoux, si ma mémoire est bonne ton mari est à l’extérieur. La petite gouine aurait-elle un amant maître ou peut-être une maîtresse. Allez dit moi tout

Je suis toute confuse mais je réponds

- C’est ma locataire qui m’oblige à porter ces poids aux lèvres

- ta locataire tiens tiens c’est intéressant. Déshabilles toi allez à poil que je puisse moi aussi profiter de toi

Depuis que Julie est entrée dans ma vie, je sais que je suis né pour être dominé par qui le voudra bien. Alors c’est sans discuter que je me déshabille et me retrouve nue devant ma propre patronne. Sans avertissement elle s’approche de moi et saisi un mamelon entre ses doigts. Elle tire dessus le plus qu’elle peut. Je sens une légère douleur mais surtout la mouille qui sort de mon sexe en feu. Elle saisit l’autre mamelon et s’amuse à tordre mes seins et à les étirer. La chaleur gagne mon corps. Julie a plutôt tendance à me frapper jamais elle n’a joué avec mes seins en utilisant directement ses mains. Cette sensation est nouvelle pour moi, je me surprends à laisser aller un soupir de jouissance.

- aaaaaaah ! oui tirez sur mes mamelons faites leurs mal, j’aime avoir mal aux seins cela me fait jouir

- crois-tu que tu es ici pour jouir

Alors, ma patronne se penche sur son bureau et saisit deux grosses pinces noirs qui servent à retenir des feuilles ensembles. Elle en ouvre une en pesant sur les broches argents qui sont de chaque côté et tout en saisissant une aréole pose la pince sur cette dernière et fait la même chose avec l’autre sein. La douleur est immédiate.

- Maintenant j’ai une bonne prise

et sans avertissement elle se met à tirer sur les deux pinces étirant et tordant mes seins sans ménagement.

- aaaah ! c’est bon aaaaah ! oui tirez fort faites moi mal aux seins

Mais cette dernière arrête le supplice et avec une violence inouïs frappe du pied les poids suspendus à mes petites lèvres. J’ai l’impression que tout va arracher. Je hurle de douleur. Mes petites lèvres ballottent étirées sous le poids des pesés. Ma patronne se penche, saisit les poids et se met à tirer dessus tout en excitant mon clitoris en érection en frappant dessus avec sa main libre.

- dit donc tu mouille comme une vrai fontaine,

Effectivement je mouille énormément, mon clitoris s’excite sous les coups de ma patronne. Je sens les mains de cette dernière qui fouinent dans mon con. Je bouge les fesses pour lui faciliter la tâche mais surtout pour m’exciter. Elle se relève.

- Vas t’asseoir sur la chaise devant l’ordinateur, je vais de dicter une lettre à chaque faute que tu fais tu reçois un coup de règle sur les seins

Ma patronne commence à me dicter une lettre qu’elle invente à mesure. Cette dernière comporte des mots très difficile à écrire que je m’applique à transcrire sans faute. Soudain SCHLAAAAKKK un coup de règle sur un sein près de la pince.

- tu as fait une faute, fais attention

et ma patronne de recommencer à me dicter la lettre de plus en plus vite ce qui m’amène à faire des fautes SCH LAAAK sur un sein SCHLAAAAKKK sur l’autre sein. à chaque faute un sein est puni SCHLAAKKK, SCHLAAAK. Ma chatte est tellement excitée que j’en mouille la chaise. Mes seins prennent cette belle couleur rouge qui m’est maintenant familière. Enfin la lettre est finie.

- Tu es une belle salope, j’aimerais bien continuer notre petit entretien mais je suis attendu. Tu vas m’attendre ici, je reviens dans cinq minutes surtout ne bouge pas.

Ma patronne sort de son bureau en prenant soin d’apporter avec elle mes vêtements. Je me demande bien qu’elle sera la suite des événements. Quelques minutes plus tard ma patronne revient.

- J’ai mis tes vêtements dans la toilette des hommes située en bas dans le hall. Nous allons partir toutes les deux les chercher. Tu passes devant.

Je suis rouge de honte à sa demande. Je dois, pour retrouver mes vêtements, me promener nue dans l’édifice avec au con deux poids et sur les seins deux pinces qui font de moi une esclave soumise. Mais il est six heures trente j’espère que tout le monde à quitter. Je sors du bureau. Les poids m’obligent à marcher d’une façon grotesque les jambes écartées permettant ainsi à ma patronne qui me suit d’avoir une très belle vue de mes petites lèvres étirées. On arrive à l’ascenseur sans avoir rencontré personne. Ce n’est qu’en descendant que je me rappelle que la toilette des hommes est située de l’autre côté du hall d’entrée contrairement à celle des dames qui est située près de l’ascenseur. Pour y parvenir, je dois passer devant le bureau du gardien situé au centre du hall. J’espère que ce dernier est aller faire une virée. Comme si elle devinait ma penser ma patronne me regarde avec un sourire en coin. Enfin la porte de l’ascenseur s’ouvre, un rapide regard me fait remarquer que le bureau est vide

- Je te quitte ici, il te reste seulement à te rendre à la toilette

Je me met alors à marcher le plus rapidement possible, sous l’œil amusé de ma patronne, je sens les poids qui étirent mes petites lèvres et qui frottent sur mon clitoris excitant ce dernier. Finalement je rentre dans la toilette sans avoir rencontré personne. Je saisis mes vêtements et va pour m’introduire dans un cabinet lorsqu’une voix m’appelle

- madame vous êtes dans la toilette des hommes, veuillez sortir du cabinet SVP immédiatement

Je reconnais la voix du garde de soir, il doit m’avoir vue entrer et se demande ce que je fais ici

- pardon monsieur mais je vais sortir dans cinq minutes

- c’est maintenant que vous devez sortir ou je vais vous chercher

et sans attendre, le garde passe la tête dans le cabinet, que je n’ai pas eu le temps de barrer, me saisit par une pince et c’est en tirant sur un sein qu’il m’oblige à me présenter à lui.

- voyez vous ça, qu’avons-nous là ? ne serais se pas une petite gouine qui aime se faire dominer, mais je vous reconnais, vous travaillez au troisième comme secrétaire. On va bien s’amuser toi et moi

Tout en parlant le garde continue de tirer sur mon sein Il saisit l’autre et lui fait subir le même traitement. Pour la première fois, j’ai affaire à un homme et ce dernier étant plus fort que Julie ou ma patronne me fait affreusement mal aux seins en tirant dessus. Finalement il lâche les pinces et baisse son pantalon. Jamais de ma vie j’ai vu un pénis en érection aussi gros. Il doit mesurer 10 pouces avec à son extrémité un gland rouge de la grosseur d’une pomme. Je me sens toute confuse, jamais je n’ai trompé mon maris mais ce gros pénis m’attire comme un aimant et c’est sans conviction que je demande au garde de me laisser partir.

- partir, mais voyons mon plaisir ne fait que commencer, mais avant d’aller plus loin on va ouvrir un peu ce petit trou d’amour que tu as entre les fesses et après je t’enculerais avec ma grosse queue. Penche toi vers le comptoir

Je m’exécute. Comme j’ai déjà mentionné, jamais un homme m’a enculé à l’idée que cette énorme queue va pénétrer dans mon petit trou me terrorise et m’excite au plus haut point. Je me demande bien avec quoi il va agrandir ce petit trou d’amour. Je vois alors par le miroir le garde sortir de son étuis la matraque qu’il porte sur lui et je comprends tout. Cette dernière quoi d’une bonne grosseur est quand même plus petite que la queue de mon tortionnaire.

- utilise tes mains pour écarter tes fesses

C’est lorsque mes fesses sont bien écarter que je sens pénétrer en moi ce gobiché improvisé. Le garde s’amuse à me sodomiser avec sa matraque tout en tirant sur mes seins à l’aide des pinces. Le va-et-vient de la matraque fait bouger les poids suspendus à mes petites lèvres excitant mon clitoris. C’est dans cette position que j’entends la porte s’ouvrir et vois ma patronne.

- on s’amuse bien

Je comprends tout et me rappelle que le garde et cette dernière on déjà été amant il y a quelques années. Ma patronne doit avoir profité du moment qu’elle est venue porter mes vêtements pour l’avertir de mon arrivé.

- mais je trouve que notre jolie esclave ne souffre pas assez. Arrêt un peu d’enculer cette petite idiote et passe moi tes menottes et ton pistolet et toi relève toi

Le garde s’exécute donnant à ma patronne ce qu’elle désire. Cette dernière passe à un anneau d’une pince attachée à mon sein une extrémité de la paire de menotte, fait la même chose avec l’autre sein. De cette façon, la chaîne de la paire de menotte pend entre mes deux seins. Elle prend le pistolet puis à l’aide d’une attache fixée à sa crosse l’accroche à cette chaîne fabricant ainsi un poids improvisé. Le travail terminé elle lâche le tout. La douleur est atroce, le pistolet est très lourd étirant mes seins d’une façon incroyable.

- maintenant on va s’amuser à trois, tiens je t’ai apporté ce qu’il faut pour enculer toi même cette petite salope moi je vais m’occuper de son con

Et ma patronne tout en donnant au garde un tube de lubrifiant prend la matraque de ce dernier

- remet toi dans la position que tu étais lors de mon arrivée

Je m’exécute. Je sens soudainement une gelée froide sur le pourtour et dans mon anus. Je devine que le garde est entrain d’appliquer le lubrifiant puis soudainement c’est comme si mon anus voulait déchirer, je sens l’énorme queue du garde pénétrer en moi lentement mais sûrement. J’ai mal, je hurle de douleur mais le pénis tranquillement s’enfonce dans mes entrailles. Arrive un moment où ce dernier ne peut aller plus loin. Commence alors un va-et-vient brutal qui a pour effet de faire bouger mes poids aux lèvres recréants ces conditions d’excitation que je connais si bien maintenant et qui par le fait même fait bouger le pistolet étirant dans toutes les directions mes seins qui me font souffrir. Et comme si tout cela ne suffisait pas, je sens la matraque du garde que manipule ma patronne s’enfoncer dans mon sexe mouillé de plaisir. Pénétrer ainsi, pour la première fois, par mes deux trous d’amour je sens la jouissance monter en moi

- aaaaah ! oui c’est bon encule moi plus loin, plus fort enfonce bien cette matraque dans mon con de salope

Ma patronne me fait comprendre que c’est elle qui mène le bal en ponctuant sa pénétration de claques vigoureuses sur mes seins déjà endoloris par le pistolet. Je sens la tête qui me tourne de douleur et de jouissance et c’est dans un long cris, où se mêle les deux sensations, que je jouis en même temps que je sens la semence du garde se répandre dans mon cul.

- relève toi que je m’amuse un peu pendant que notre homme reprend ses esprits

et sans attendre ma réaction elle saisit mes seins en commence à les frapper tout en laissant en place la matraque. J’en perds la tête, jamais je n’ai connu une jouissance pareil. Je me laisse frapper, je suis comme dans un rêve. Juste le fait de me faire frapper les seins me fait jouir. Je me branle les fesses pour exciter mon clitoris avec les poids augmentant ma jouissance et l’excitation du garde dont l’érection revient après une courte pause.

- viens ici penche toi et suce moi le sexe

Mon excitation me fait convoiter ce sexe énorme et c’est sans me faire prier que je passe mes lèvres autour de ce gland énorme qui vient de m’enculer. La queue n’est pas tout à fait en érection, alors je la sens gonfler dans ma bouche qui est dilater par la grosseur du membre. Je m’applique du mieux que je peu tout en me faisant pomper par la matraque que tient toujours ma patronne. Je jouis de nouveau en sentant la semence jaillir dans ma bouche. Je n’est pas le temps de reprendre mes esprits que le garde enlève le pistolet, les menottes.

- maintenant, prend tes vêtements et va t’habiller dans la toilette des dames

Cette demande imprévue m’oblige une fois de plus à traverser le hall. Cette fois c’est sans encombre que j’arrive à destination. En me regardant dans le miroir, je vois toute ma débauche. Du sperme coule le long de ma bouche et j’ai toujours aux seins les pinces qui me font souffrir. C’est avec précaution que je les retire en laissant aller une plainte de douleur. Je me lave et m’habille rapidement sachant que Julie doit m’attendre. Cette correction m’a mis en retard et ce n’est que vers huit heures que je rentre chez-moi. Pas de traces de Julie. Comme convenu je me déshabille et me dirige vers la cuisine où elle se trouve parfois. En arrivant, je trouve, sur la table, une lettre de Julie qui me donne rendez-vous pour le lendemain soir à dix heures. Je dois être nue.

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