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Les pénitences de Marguerite

 
Chapitre 2

 

Malheureusement pour moi la suite de cette histoire ne se produisit pas le soir même ni dans les jours qui suivirent. La vie reprit son cours. Julie et moi on se croisaient à la salle de bain où tous les prétextes étaient bons pour me promener nue devant elle et lui montrer mes fesses qui restèrent rouges quelques jours, mais on échangeait des banalités sans jamais revenir sur ce qui c’était passé. De mon côté je continuais à faire des rêves où la domination revenait souvent. Je dormais mal passant mes nuits à me masturber tant ces rêves me faisaient de l’effet. J’avais honte mais je devais admettre que la correction que m’avait donné Julie m’avait excité au plus haut point . Je rêvais à la suite des événements si suite il y avait.

Le jeudi soir, deux semaines après cette première expérience, j’étais dans ma chambre, je m’étais mise à l’aise portant un déshabillé noir que mon mari m’avait offert il y a quelques années. Ce dernier se composait de deux pièces, un haut qui tombait jusqu’au début des fesses et qui possédait deux ouvertures assez grandes au niveau des aréoles pour permettre de sortir ces dernières ainsi qu’une bonne partie de mes seins et une petite culotte qui ne cachait que l’essentiel. J’aimais porter ce vêtement, j’aimais la sensation du satin sur mes seins lorsque mon mari sortait mes aréoles par les ouvertures et s’amusait à tirer dessus légèrement. Cette image de mon mari m’excita. Je pris mes mamelons entre mes doigts et tira dessus pour revivre cette merveilleuse sensation. Je sentais mes gros mamelons gonflés de plaisir entre mes doigts. Je m’étendis sur le lit, enleva cette petite culotte qui me gênait et me masturba frénétiquement tout en tirant le plus possible sur mes mamelons. Je jouis en laissant échapper des petits cris. Je m’endormit dans cette position.

Le lendemain matin qu’elle ne fut pas ma surprise de trouver sur la table un message de Julie sur lequel on pouvait lire : Viens me rejoindre ce soir à 9 heures. Tu dois porter ce déshabillé que tu avais hier soir et sortir tes gros seins par les ouvertures.

Ainsi Julie m’avait encore une fois vue entrain de me masturber. Cette idée me fit rougir. De plus elle voulait me revoir ce soir. Ma tête se mit à tourner que devais-je faire ? Depuis deux semaines j’espérais que Julie me fasse revivre les sensations qu’elle m’avait fait vivre mais maintenant qu’elle m’invitait j’hésitais. Toute la journée je repensais à cette invitation. Parfois elle m’excitait tellement que je devais me rendre aux toilettes pour me masturber. Par contre, j’étais une fille de bonne famille et ce genre de sexualité n’avait pas sa place dans mon monde. De plus, je devais penser à mon mari. Finalement je fis le chemin du retour résolu de dire à Julie que jamais je n’irais à son rendez-vous. Lorsque je rentrais pas de trace de Julie. J’étais déçu de ne pas pouvoir régler la question sur le champs. Je me mis à l’attendre. Plus l’heure du rendez-vous approchait plus je sentais la tête me tourner. Je repensais à toutes ces images qui avaient tourmenté mes nuits. J’étais engourdi comme dans un rêve. Vers huit heures je me surpris à passer le déshabillé. J’étais entrain de me regarder dans le miroir lorsque j’entendis la porte extérieur s’ouvrir et Julie descendre au sous-sol. Il était huit heures cinquante. La tête me tournait comme une toupie, je sentais la mouille couler de mon con. Je savais que si j’allais la rejoindre ma vie ne serait plus jamais la même. Mais je devais admettre que ma résolution s’envolait pour laisser place à un désir de jouir dans la douleur comme dans mes rêves. C’est la tête lourde et pleine de ces images que je pris un sein dans une main et le sorti le plus que je pouvais par l’ouverture. Je fis la même chose avec l’autre sein et me dirigea vers la porte du sous-sol. Il était huit heures cinquante-huit.

J’ouvris la porte et me mis à descendre les escaliers. Mes seins bondissaient à chaque pas. Je vis Julie qui m’observait et je rougis de honte mais sa vue fit gonfler mes mamelons de désir. Je cachais se désir avec mes mains lorsque Julie me cria

- enlève tes mains de devant tes gros seins et laisse moi voir ces gros mamelons qui grossissent de plaisir à la penser de ce qu’il va arriver.

J’obéis et continue de descendre ces marches qui font rebondir mes seins. Julie m’attend au bas de l’escalier

- je savais que tu viendrais petite salope. Hier soir je t’ai vu jouer avec tes gros seins alors ce soir cette partie de ton corps sera punie.

Et sans avertissement elle saisit un mamelon entre ses doigts et me traîne au milieu du sous-sol. La tête me tourne, je sens mon mamelon gonfler entre ses doigts. Je sais maintenant que Julie va pouvoir faire ce qu’elle veut avec moi. Je suis devenu son esclave consentante comme si cela devait être mon destin. Tout ce que je dois faire c’est m’abandonner à elle et souffrir comme le mérite la femme soumise que je suis devenue.
Au centre du sous-sol se trouve une table sur lequel on retrouve divers objets. Une corde à danser, deux cloches, des pinces bizarres, des poids qu’on utilise pour peser des choses et une ceinture de cuire noire. Je me demande comment Julie va utiliser ces instruments la seule chose que je sais c’est qu’ils sont destinés à me faire souffrir. Julie commence par me tendre la corde à danser.

- allez saute à la corde comme lorsque tu étais petite fille et surtout arrange toi pour faire bouger ces gros seins qu’on doit punir.

J’exécute son ordre et me met à sauter à la corde. L’image que j’ai de moi me fait honte. à chaque saut mes seins rebondissent d’une façon grotesque et frappent mon déshabillé de satin. Mais la sensation est merveilleuse. Je m’applique à sauter le plus haut possible afin de répondre aux exigences de ma maîtresse. Mais ce petit jeu a vite fait de m’épuiser je sens la fatigue dans mes jambes. Je ralentis le rythme et Julie s’en aperçoit.

- allez plus vite et plus haut fait bouger ces grosses boules que tu caressais hier soir. J’aime les voir rebondir. Ils bougent d’une façon grotesques avec leurs gros mamelons qui pointent d’excitation

Effectivement je m’étais pas rendu compte que cet exercice avait eu pour effet de faire grossir mes mamelons de désir. Jamais je me les avais vu si long et si gros d’excitation. Ils pointaient d’une façon obscène.

- arrêt je crois qu’il est temps de s’occuper de ces gros mamelons qui m’attendent que ça. Mais avant déshabille toi. Allez à poil.

Enfin je peux souffler un peu. M’ayant aucune idée de la suite des événements, je prends tout mon temps pour retirer mon déshabiller et reprendre mon souffle. Je me retrouve nue devant Julie qui d’une main saisit un mamelon et me tire vers elle. Elle prend sur la table une pince bizarre qui ressemble à une étau avec deux vises qui font bouger deux plaquettes de métal. Elle étire mon mamelon le plus qu’elle peut et met ce dernier entre les deux plaques et serre les vises au maximum. La douleur est instantanée mais bonne.

- ail ça fait mal. Mais Aaaaah ! c’est bon d’avoir mal aux seins
- attends t’es gros seins vont souffrir comme jamais ils ont souffer
Elle prend mon autre mamelon et met la dernière pince. La pointe de ces derniers est rouge de douleur. à la base de chaque pince on retrouve un anneau. Julie prend un sein, passe une corde dans l’anneau et, à ma grande surprise, attache une cloche à la corde.
- tiens la cloche devant ton aréole pendant que j’attache l’autre

Je prends la cloche et la tiens pendant que mon autre sein subit le même sort. Une fois le travail terminé, Julie reprends la cloche que je tiens et joue avec les deux

- Je t’avertis tu vas avoir très mal aux seins dans les minutes qui vont suivre. Si tu le désir je peux tout arrêter ici et te laisser partir ou tu peux rester et souffrir.

Je ne suis pas dans une position pour partir. De plus j’ai déjà accepté mon sort d’esclave. Je me plais à souffrir et intérieurement j’ai hâte à la suite des événements.

- je désir rester et souffrir maîtresse

- très bien je vois que tu sais à quoi t’attendre. à partir de maintenant tu es mon esclave et tu dois m’appeler, comme tu viens de le dire si bien, Maîtresse.

Et sans attendre Julie lâche les deux cloches qu’elle tenait toujours. La douleur est vive. Ces cloches doivent peser au moins 500 gr chacune. Mes seins sont étirés d’une façon incroyable. Je hurle de douleur. J’ai les yeux plein d’eau tellement la douleur est insoutenable.

- allez maintenant fais bouger ces grosses cloches saute à la corde

Je me remet doucement à sauter. Les cloches sonnent à chaque saut étirant mes seins vers le plancher lorsque mes pieds touchent le sol.

- Tu ne saute pas bien haut. Arrête je vais t’aider à bouger mais d’abord donne moi la corde et lève les mains au dessus de ta tête.

Julie prend la ceinture et s’en avertissement SCHLAAAKKK sur les fesses.

- saute, allez saute bien haut

Je me remet à sauter sous la pluie de coups de Julie. Cette dernière s’attarde à mes fesses. Les cloches sonnent s’en arrêt. SCHLAAAKKK, DéDING DéDONG, DéDING DéDONG, SCHLAAAKKK DéDING DéDONG, DéDING DéDONG Mes seins me font souffrir d’une façon atroce. Le fait de sauter et d’être fouetter en même temps fait bouger les cloches s’en arrêt augmentant ma douleur. Mes seins sont continuellement étirés d’une façon grotesque. Je suis à bout de souffle. Finalement Julie arrêt de fouetter

- arrêt de sauter, on va passer à autre chose. écarte tes jambes

J’obéis à Julie. Cette dernière prend sur la table les deux pinces qui restent. Ces dernières ressemblent aux pinces noires qu’on utilise pour attacher des feuilles mais à la différence qu’elles sont pourvues de pointes aux extrémités. Julie prend entre ses doigts une de mes petites lèvres. L’effet est immédiat, je sens la mouille couler de mon con.

- Je vois que madame aime souffrir, elle est toute moite. Mon idée n’est pas de caresser ton sexe de salope mais plutôt de le punir comme le mérite un sexe qui mouille autant.

Julie prend une pince et la pose sur ma petite lèvre. J’ai une bouffé de chaleur et de douleur

- aaaaah oui c’est bon

Mon autre lèvre subit le même sort et sans attendre ma réaction Julie prends les poids et les attaches aux pinces. Je hurle de douleur, je sens mes petites lèvres étirées entre mes jambes. Les poids sont lourds, j’ai l’impression que mes petites lèvres vont se détacher de mon corps. Julie reprends la ceinture et SCHLAAAK sur mes seins.

- allez saute salope, fais moi bouger ces beaux bijoux

et pour se faire comprendre Julie se met à frapper toutes les parties de mon corps. Je hurle, je crie mais rien ne l’arrêt. Je sens mes seins et mes petites lèvres s’étirer à chaque coups. Elle s’attarde surtout à frapper mes seins puis SCHLAAAK un coup entre les jambes. J’ai l’impression que je vais perdre connaissance tellement le coup fait mal. Mes seins me font souffrir, mon sexe me fait souffrir, je manque de souffle, il faut que Julie arrêt sinon je vais tomber dans les pommes. Enfin Julie cesse de frapper. Tout mon corps est rouge vif. Je fais pitié à voir le regard fou, mon corps en sueur et surtout ces cloches qui pendent au bout de mes gros seins. J’ai honte.

- Allez tu peux retourner dans ta chambre, mais tu vas garder ces bijoux pour monter, je veux voir une dernière fois ces grosses cloches ballotter. De plus, tu devras les porter à chaque fois que je te le demanderais.

Je remonte l’escalier consciente du regard que Julie porte sur moi. Mes grosses boules ballottent faisant sonner les cloches DéDING DéDONG DéDING DéDONG. Du bas de l’escalier, Julie doit avoir une très belle vue de mes petites lèvres anormalement étirées. Enfin je suis de retour dans ma chambre. Il est à peine 9hrs 45. Ma correction n’a pas duré plus de 45 minutes. Je suis chaude comme jamais. Je prends mon vibrateur et debout devant mon miroir je m’encule. Je sens mes petites lèvres s’étirer à chaque pénétration augmentant ma jouissance. Je suis consciente qu’à chaque mouvement que je fais les cloches sonnent et que Julie doit les entendre. Mais je m’en fou, même que cela m’excite de penser que Julie sait que je suis entrain de me branler en portant toujours ses bijoux. C’est avec cette penser en tête que je jouis en laissant aller un long cri de plaisir.

Je reprends mes esprits et toujours très chaude, j’enlève les pinces de mes seins. Jamais je n’aurais cru que la douleur serait aussi vive en retirant ces dernières. Je masse mes mamelons pour les soulager. J’appréhende d’enlever les pinces qui sont sur mes petites lèvres. J’ai peur à la douleur. Je me penche et pour la première de la soirée je vois mon clitoris. Ce dernier est gonflé de plaisir comme jamais il ne l’a été. Son érection le fait ressortir d’entre les pinces comme un petit pénis. Je le caresse doucement en retirant les pinces. La douleur est atroce mais je sens mon con tout mouillé et pour la seconde fois je jouis en caressant ce gros clitoris. Ce n’est que plusieurs heures plus tard que je finis par m’endormir

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