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Angie, la garce
 
Le jour était à peine levé sur la petite ville de M. et Graham se hâtait car il devait se rendre à cette réunion dite « des grands patrons » de la compagnie où il occupait un poste considérable. Ces réunions se tenaient le premier vendredi de chaque mois et il se réservait l’heure précédente pour aller prendre son petit déjeûner au restaurant, question de se détendre un peu.

Sa petite femme, Angie, dormait encore et il ne voulait surtout pas la réveiller. Il connaissait bien son humeur colérique et il préférait partir au travail la tête reposée. C’est avec soin qu’il choisit un costume et alla même s’habiller dans la salle de bain pour que la lumière ne la tire pas de son sommeil. Il ne lui restait qu’à ramasser son attaché-case dans la chambre à coucher, ensuite il serait prêt à partir. La pièce était plongée dans une semi-obscurité mais heureusement il avait en mémoire l’emplacement de chaque meuble pour ainsi éviter le coup classique de celui qui bute sur une chaise et qui l’envoit se percuter sur le mur avec grand fracas. Il traversa la chambre pratiquement sur la pointe des pieds, saisit sa malette et revint sur ses pas de la même façon.

Alors, mon beau, on s’esquive en douce ?

Angie ouvrit la lampe de chevet pour découvrir son mari regardant par terre comme un gamin que l’on aurait pris la main dans le sac. Elle ne fit que redresser ses oreillers et demeura sous les couvertures.

Mon amour, commença Graham nerveusement, je croyais que tu dormais profondément alors...

Assez! Pose ta malette, dit-elle sèchement avant de sortir du lit et venir se camper droit devant lui.

Les bretelles de sa tenue de nuit avaient glissé de ses épaules, découvrant la presque totalité d’une paire de seins fermes où Graham aimait poser les lèvres, lorsqu’elle le permettait, pour en sucer les bouts jusqu’à ce qu’ils deviennent durs et rouges comme de petites framboises. Le regard de Graham chercha à en voir plus mais il se ravisa car ensuite, elle s’adressa à lui d’une voix doucereuse en lui mettant un index sous le menton.

Pas de baisers, pas d’ « au revoir » ni de « bonne journée ». Tu sais, Graham chéri, je devrais être très fâchée.

Graham chercha à se dérober.

Je t’en prie, Angie, je suis pressé. Il y a la réunion ce matin.

En guise de réponse, elle lui enfonça son ongle dans la peau, et il réagit à peine.

Ecoute, mon gros, le patron de cette compagnie c’est toi alors les autres peuvent bien attendre. De toute façon, j’ai un compte à régler avec toi. Maintenant !

Angie avait prononcé ces paroles sur le ton brusque que Graham connaissait bien et apparamment, elle ne semblait pas se soucier de la différence de grandeur assez considérable qui les séparait, avantageant Graham d’une bonne quinzaine de centimètres.

Je vais t’apprendre, moi! Défais ton pantalon et grimpe à quatre pattes sur le lit.

Elle se dirigea vers la penderie. Sa chemise de nuit remontait à chacun de ses pas et laissait paraître des cuisses musclées et légèrement bronzées pendant que de son côté, Graham prenait place tant bien que mal sur le lit défait. Il ne baissa pas sa culotte car il savait pertinemment bien par expérience qu’Angie préférait le faire elle-même. Elle vint le rejoindre tenant dans sa main droite une épaisse ceinture de cuir noir déteint par endroit, témoignant de son usage fréquent.

Je te conseille de fermer ta gueule. Tu ne voudrais pas que ta fille vienne voir ce qui se passe, n’est-ce pas ? Ah, et puis je parie que ça ferait bander ta grosse queue de te faire surprendre. Mais présentement, c’est à ton cul que j’en ai et ça va chauffer !

Elle remonta le veston de Graham sur son dos, baissa lentement son pantalon puis son slip en frôlant son anus du bout des doigts puis sans l’avertir, elle plongea son pouce dans le petit trou et le fit tourner comme une clé dans une serrure.

Ahhhhhh……

Elle ne s’y attarda pas ; elle le retira plutôt vivement avant d’informer son mari qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Sa main, n’avait pas laissé la ceinture qu’elle tenait, et sans plus tarder, elle leva son bras et abattit violemment la lanière de cuir sur le postérieur de son époux. Schlak! Elle n’y allait pas de main morte enchaînant les coups rapidement sans laisser de répit. Schlak! Schlak!! Schlakkkk! Bien que le bruit des coups pouvaient sembler faibles à l’oreille, ceux-ci portaient car bientôt la croupe et les cuisses furent striées de belle rayures écarlates sur un fond déjà bien rouge.

Graham encaissait la punition sans dire un mot. Il s’abstenait même de gémir trop fort de peur que leur fille n’entende quelque chose. Sa chambre à elle était au sous-sol et la leur à l’étage mais tout de même. Seule l’idée le faisait frémir de honte. Cela devenait de plus en plus difficile de retenir ses plaintes et il sentait que sa verge était déjà grosse sous lui.

Angie ne s’arrêta que lorsque son bras fut fatigué, alors elle laissa la ceinture tomber par terre.

Comme çà, tu vas passer quelques temps à penser à moi, dit-elle avant de continuer en riant. Surtout pendant la réunion, le derrière va tellement te chauffer que…

Elle s’interrompit soudain et son visage changea d’expression. En fait, il passa du rire à la colère mais elle la contint du mieux qu’elle le put. Graham tourna la tête pour voir ce qui se passait et il vit Angie qui le regardait avec rage.

Alors, tu bandes mon cochon? Ca fait enfler ta queue de te faire battre par ta femme?

La vérité était que Angie s’excitait à dominer son mari mais elle méprisait le fait que lui y trouve un plaisir. Voir Graham bander ainsi ne faisait qu’attiser la garce en elle et elle en profitait généralement pour aller encore plus loin.

Qui crois-tu être pour te permettre de bander sauvagement devant moi? Sans même daigner demander la permission…La ceinture, ça ne suffit plus, c’est çà? T’es un misérable pervers Graham. Je vais subvenir à tes besoins, moi…

Elle retourna à toute vitesse à la penderie et en sortit une boîte à chaussure qu’elle vint poser sur la table de chevet. Elle se tourna vers son mari.

Je vais te laisser autre chose que la brûlure de tes fesses pour penser à moi, aujourd’hui. Crois-moi qu’il n’y a pas que la peau du derrière qui va te chauffer.

Elle délivra la boîte de son couvercle et en sortit un emballage de plastique sur lequel Graham put lire « butt plug ». Son contenu consistait en un espèce de gros phallus, énorme en largeur mais quand même assez court, venant étroit à un extrémité puis plus grand, dont il ignorait l’existence. Graham crût un moment qu’elle allait l’enculer et qu’ensuite elle le laisserait partir. L’idée l’excitait habituellement mais cette fois, les dimensions de l’engin étaient redoutables et sa forme particulière lui laissait craindre autre chose. De toute manière, Angie était déjà derrière lui et il lui faudrait subir alors il souhaitait seulement qu’elle n’y aille pas trop fort.

Ah! Mais on dirait que ton petit trou de cul frétille. Est-ce que c’est d’impatience, mon chou? Tu mériterais que je t’encule sans lubrifiant, dit-elle en enduisant néanmoins l’engin d’un gel quelconque. En position!

La « position », il la connaissait bien. Il écarta les jambes puis s’appuya sur ses coudes, postant ainsi son front sur la douillette.

Le cul bien haut Graham. Je vais te faire mal, mon coeur. Essaye seulement de ne pas crier trop fort.

Elle prit à peine le temps d’appuyer le gode sur l’anus qu’elle lui planta sauvagement dans le fondement d’au moins de moitié. Graham étouffa à peine le cri rauque que la douleur provoqua en lui. Les larmes lui montèrent aux yeux tellement il se sentait déchiré. Heureusement que le phallus était lubrifié.

Encore un effort, dit Angie avant d’enfoncer le reste; la partie la plus large.

Hmmmmmpppppphhhhhh!!!!!!!!

Elle entreprit un mouvement de va-et-vient rapide qui torturait le pauvre homme dû, entre autres, à la forme particulière du « plug ». Ses deux mains agrippaient fermement les draps et il se mordait les lèvres pour ne pas crier. Il avait l’impression de fendre en deux littérallement. Il ne pourrait plus sentir longtemps cette présence intruse. Angie mit vite fin à la cadence mais laissa l’objet du supplice bien posté dans le cul de son mari. La douleur s’était un peu estompée mais il attendait avec impatience qu’elle le délivre. Cependant, Angie lui remit sa petite culotte et le pressa de se rhabiller en vitesse.

Mais, ma chérie…

Elle vint s’asseoir à ses côtés et lui sourit.

Je t’avais averti que tes pensées seraient ailleurs aujourd’hui. Et je te préviens qu’à la minute où tu mettras les pieds dans cette maison, ce soir, je vais vérifier dans ta culotte et gare à toi si l’engin n’y est plus!

Graham savait qu’elle mettrait sa menace à exécution alors il se revêtit en vitesse, rouge de honte à l’idée de passer la journée entière enculé de la sorte. Sa queue était encore dressée, dure à l’extrême et il eut peine à remettre son pantalon. Angie s’en apercu.

Tu pourras toujours te soulager en chemin, dit-elle en riant.

En se penchant pour prendre sa valise, il sentit le « plug » remuer dans son cul puis il se rappella l’escalier qu’il devait descendre pour sortir de la maison. A chaque marche, il sentait son anus à peine dilaté embrasser l’engin qui lui labourait l’intérieur. La situation était des plus inconfortable, embarassante mais pourtant excitante et cela affecta son humeur.

Molly, leur fille adolescente, était à la cuisine et il craignit un instant qu’elle n’ait tout entendu ou qu’elle ne se doute de quelque chose. Il se concentra à marcher le plus normalement possible et quand elle lui souhaita une bonne journée, il répondit en claquant la porte.

Qu’est-ce qui se passe avec lui?, demanda t-elle à sa mère.

Disons que ton père est un peu coincé, ce matin.

Et Angie éclata de rire.

 

jessiex

 
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