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Un dimanche très attachant
 

Voila une histoire réelle dont je garde un très bon souvenir et que je voudrais vous faire partager.

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C'était un dimanche midi. J'étais chez moi seul. Je ne faisais rien. J'aurais aimez faire quelque chose d'intéressant, quelque chose qui change de l'ordinaire.

Je décidai donc de prendre contact avec des gens qui, comme moi aime le SM. Je me connectai donc, grâce a mon ordinateur, a un service ou on peut facilement prendre contact avec des personnes. Je pris comme pseudonymes "JH M LIENS".

Au bout de 3/4 d'heures un homme se présenta et me dit que comme moi il aimait les liens. Mais aussi les fessées. Moi je n'avais pas, à l'époque, d'expéréence. Je lui demandai s'il accepterais de me rencontrer, et tout-en satisfaisant son désir de fessée, de faire des jeux de liens. Il accepta tout de suite et me donna ses cordonné afin que je puisse aller chez lui.

Je mis mon matériel dans un sac (menottes de cuir, collier de cuir, bâillon boules, channes) et parti chez lui. Il habitait dans Paris et moi en banlieue à 30Km. 1 heure plus tard j'étais chez lui.

J'avais le coeur qui battait très fort. C'était pour moi une expérience nouvelle. Il me mit en confiance en me proposant une boisson, que j'acceptai volontiers. Il était très intrigué par mon sac et me demanda ce qu'il y avait dedans. Je lui dit que c'était mon matériel de contrainte. Il voulu les voir et fut impressionné.

La les choses sérieuses commencèrent. Il me demandant de me déshabiller complètement. Une fois nu, il prit le collier et me le mis. Puis, il me mit des bracelets de cuir aux chevilles et m'emmenât dans sa chambre.

Et la, surprise! Il y avait, fixé au mur, une chaîne qui traversait la largeur de la pièce. Mon coeur battait fort, et j'étais très excité a l'idée de voir cette chaîne.

Il attrapa une barre de bois, et me demanda d'écarter les jambes. Alors il me fixa les chevilles à cette barre. Je ne pouvais plus refermer les jambes. Puis dans une valise il attrapa une paire de bracelets de cuir qu'il me mit au poignet. Ils étaient moelleux et très agréable. Et enfin il me fixa le poignet à la chaîne.

J'étais là, nu, en croix, devant cet homme que je connaissait depuis 15 minutes à peine, complètement à sa merci. Il partit de la pièce. C'était pour moi l'angoisse. Je ne pouvais plus m'enfuir. Je ne voyais plus que moi. Mon reflet dans une glace qui était la porte d'une penderie. Livré a moi même et mon reflet.

Puis il réapparu nu, lui aussi, avec le bâillon boules à la main. Il me bâillonna la bouche. Je ne pouvais de ce fait plus m'exprimer.

Alors, il commença à me fesser les fesses tout doucement, gentiment. Il me dit que c'était pour les chauffer. 5 minutes après, il s'arrêta, se pencha pour attraper des pinces dans sa valise. Il me fixa les deux pinces sur ma poitrine en veillant à bien prendre les tétons. La douleur se fit sentir immédiatement. Et pour vérifier qu'elles tenaient bien, et accentué ligèrement la douleur, il tira sur la chaînette qui reliait les deux pinces. Puis, il recommença les fessées mais en y allant plus fort cette fois.

J'étais dans un état second. Le plaisir des fessées, la douleur des pinces, les bras et les jambes attachées. Je ne pouvais parler, je ne faisais que des bruits sourds. Mon gland était sortit complètement. Je tirais sur les liens afin de bien voir que j'étais attaché, la, sans recoure, et aussi pour m'exciter encore plus.

Puis, il prit un fouet, et me fouetta le dos, doucement. Il n'était pas pour la souffrance. Il voulait uniquement donné du plaisir. Les lianes de cuir fines sur mon dos était douces et agréables. Les brins allaient partout. Elles n'oubliaient aucun recoin. Puis, il passa devant, sur le torse, sur les tétons qui étaient excités mais toujours coincé dans les pinces. Ils devenaient de plus en plus douloureux. Mon gland aussi y eu droit. La je donnais des soubresauts mais je ne pouvais m'enfuir. Voyant cela il insista et je me contorsionnais, je tirais mais rien n'y faisait, j'étais à sa merci, devenu son jouet, l'objet de tous ses désirs.

Il arrêta avec le fouet, enleva les pinces et le bâillon boules. Il me détacha les mains de la chaîne et me les fixa dans le dos. Il me fit mettre à genoux puis me porta sur le lit. Et il recommença a me fouetter encore plus fort.

Il me détacha les mains et me demanda que je me fouille l'anus tout en me masturbant ce que je fis sans rechigner. Il me fouettait toujours. L'excitation était si forte que je me vidai, la devant lui.

Ce fut une soirée véritablement agréable que je ne regrette nullement, et toujours prêt à recommencer si l'occasion se présentait.

Jacques

 

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