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Les aventures de ma femme adorée
 
Il y a quelques mois, Hélène ma femme a changé d'emploi. Elle me présenta Sophie, sa collègue. Elles se voyaient souvent le soir après leurs heures de bureau. Hélène revint un samedi midi de chez l'esthéticienne sans un seul poil, le sexe totalement lisse, comme un bébé. Elle me dit qu'elle cédait à mon fantasme de la voir ainsi. Le soir même, elle rentra de courses avec une superbe tenu: des bas , un porte-jarretelles, un soutien-gorge laissant sortir ses tétons, un culotte munie d'un gode gonflable et une robe très courte pour recouvrir le tout. Particularité, ses vêtements étaient en latex noir. Encore un de mes fantasmes qui se réalisait. Quelle soirée j'allais passer ....

Hélène me dit de l'attendre dans le salon, ce que je fis en sirotant le whisky qu'elle venait de me servir. Elle apparût enfin dans sa magnifique tenue. Elle s'approcha près de moi, langoureuse, bandante. J'attrapais la poire pour gonfler le gode de la culotte au maximum, et je bloquais la valve. Nous commençames à nous caresser. Quel délice de lécher ce corps recouvert de latex, de lécher ses délicieux tétons qui dépassaient comprimés par le soutien gorge. Hélène gémissait, tremblait. Elle était en train de jouir. Je la mis à plat ventre sur le tapis, un coussin sous son ventre, et la sodomisa par le passage prévu à cet effet dans la culotte. En moins de 5 minutes, après un vingtaine de va et viens, j'éjaculais dans son rectum. Hélène lécha ma bite pour la nettoyer. Je décomprima le gode et retira la culotte d'Hélène. Quelle vue magnifique que son sexe imberbe entrouvert. Je ne pus m'empêcher de le lécher, de mordiller son clito tout érigé. Hélène jouit dans ma bouche. Follement excité par ses caresses buccales, je la pris de nouveau, ses jambes gainées de latex noir serrées autours de ma taille. Hélène ondulait, son vagin massait mon sexe. Je ne fus pas long à éjaculer de nouveau. J'étais un homme comblé.

Quelques jours plus tard, Hélène me parla de Sophie. Elle me dit que celle-ci lui avait proposer de vivre de nouvelles expériences sexuelles, mais qu'elle ne pouvait de m'en dire plus. J'avais quelques soupçons sur leurs relations: Hélène revenait quelques fois avec un parfum autre que le sien. Mais cette idée ne ma dérangeait pas. J'accepte donc qu'elle aille s'amuser avec Sophie à l'unique condition qu'elle n'est pas de relation sexuelle avec un homme autre que moi.

Un vendredi soir, Hélène m'annonça qu'elle partait en week-end sans moi, avec Sophie. Elle était excitée comme un puce. Elle alla se préparer. Elle mit ses bas, son porte-jarretelles, son soutien-gorge et sa robe: les vêtements en latex noir qu'elle avait acheté quelques temps auparavant. Mais pas la culotte.

Sophie arriva à vingt heures. Hélène était prête. Elles s'en allèrent immédiatement. Je passa la soirée tranquillement devant la télé et me coucha vers minuit. Je me masturbais en pensant à Hélène. Je mis peu de temps à venir et m'endormais apaisé.

Vers midi, le samedi, un coursier m'amena un cassette vidéo. Je m'empressais de la visionner. Hélène et Sophie arrivèrent dans un grand hall blanc. Sophie enleva la robe d'Hélène. Elle lui dit que l'expérience allait commencer, qu'elle allait souffrir, mais qu'elle allait surtout trouver une nouvelle jouissance. Elle fit entrer ma femme dans une grande salle blanche où trônait en son centre une table gynécologique. Elle y installa Hélène et lui attacha les chevilles aux étriers, les poignets au dessus de sa tête. Elle embrassa Hélène sur la bouche, lui dit qu'elle l'aimait et qu'il fallait qu'elle profite de son plaisir. Sophie disparut du champ et un homme d'une cinquantaine d'année apparut. Sans dire un mot, il écarta au maximum les étriers. La chatte d'Hélène était grande ouverte, brillante. Elle semblait prendre du plaisir à être ainsi offerte. L'homme donna un coup de langue sur son clito, ce geste faisant ressortir celui-ci. Il prit un spéculum, pénétra le vagin d'Hélène et commença à l'écarter. Plus il écartait, plus Hélène gémissait. Au bout de quelques instants, sa chatte était béante. Il saisit des aiguilles chirurgicales. Le regard d'Hélène était épouvanté. Il lui parla enfin, lui disant qu'elle pouvait crier autant qu'elle voulait, la pièce étant totalement insonorisée. Il planta les deux premières aiguilles dans les grandes lèvres. Hélène cria, je fus obligé de baisser le son du téléviseur pour ne pas ameuter les voisins. Il planta ensuite trois aiguilles autour de son anus puis deux autres sur son clito. Hélène se débattait, pleurait, suppliait qu'il arrête. Il ne fît rien. Au contraire, il prit deux nouvelles aiguilles qu'il planta à l'intérieur de son vagin écartelé. Hélène émit des grognements sourds, appela Sophie à son secours. L'homme autorisa Sophie à venir. Elle s'approcha du visage d'Hélène, lui essuya quelques larmes, l'embrassa et lui murmura quelque chose que je n'entendais pas. Elle se déplaça ensuite vers le sexe d'Hélène, retira les deux aiguilles plantées sur son clito. Elle prit le petit bout de chair entre ses lèvres et le suça avidement. Hélène semblait commencer à jouir. L'homme revint dans le champ et brutalement transperça les grandes lèvres d'Hélène. Elle hurla. Sophie continua de lui pomper le clito. Hélène se mit à trembler et à crier. Elle était en train de jouir. Après un cour répit, on lui retira une à une les aiguilles et le spéculum. Son sexe était magnifique. Encore dilaté et marqué de petits points rouges: du sang laissé par les aiguilles.

L'homme releva ensuite les jambes d'Hélène toujours attachées aux étriers. Ainsi écartée et relevée, l'homme ne voyait plus que son anus et sa chatte. Il souffla sur son anus qui se reserra puis se relacha. Il approcha ensuite sa main recouverte de latex de son petit trou. Il attrapa une bouteille de lubrifiant et s'en trempa le bout des doigts. Il approcha un doigt qu'il enfonça dans l'anus d'Hélène qui poussa un petit cri. Il fit quelques va-et-vient. Elle gémissait doucement. Il plaça un deuxième doigt dans le rectum d'Hélène et fit des cercles afin de desserer l'étreinte des muscles anaux. Il rajouta 2 nouveaux doigts et se mit à pistonner violement le cul d'Hélène. Le doigt rester à l'extérieur, le pouce, venait toucher à chaque mouvement son clitoris. Hélène recommençait à jouir mais il cessa le mouvement afin d'insérer son cinquième doigt. Hélène se retrouvait avec la main d'un homme enfoncée jusqu'au poignet dans son cul. Un gros plan me permettait de voir son anus distendu. L'homme retira ensuite lentement sa main. La base de la main apparut. Le retrait continuait, lentement. L'anus se distendait encore plus. Hélène grognait. Il était en train de sortir sa main poing fermé. Hélène grognait de plus en plus. Le dos de la main apparaissait. Hélène hurla: il retira le reste de sa main d'un seul coup. L'anus était tout détendu, complètement ouvert. Il prit un écarteur afin de le maintenir bien ouvert. Hélène ne disait rien et esquissa juste un petit rictus lorsqu'il saisit trois aiguilles chirugicales. Elle grogna de nouveau lorsqu'il planta les aiguilles à l'intérieur de son rectum. Les grognements cessèrent mais reprirent pour se transformer en hurlements lorsque l'homme fit chauffer les aiguilles avec un cigarette. Au bout de 5 minutes de cette torture, il cessa. Il retira une à une les aiguilles puis l'écarteur qu'il remplaça par l'extrémité d'une batte de base-ball. Il fit signe à Sophie de venir et lui confia un fouet à six brins. Il lui demanda de fouetter le sexe béant d'Hélène. Sophie commença en frappant doucement l'intérieur des cuisses. Dès les premiers coups, des marques rouges apparurent. Elle commença ensuite à fouetter le sexe. Hélène ne put retenir ses cris. Sophie frappait de plus en plus fort. En gros plan, on voyait nettement les lanières venir frapper le clitoris et l'intérieur du vagin. L'homme retira la batte et le fouet vint s'abattre sur l'anus ouvert et distendu. Les cris baissaient d'intensité. Le sexe d'Hélène était tout humide. L'orgasme n'était pas loin, mais Sophie s'arrêta. L'homme l'autorisa à passer entre les jambes écartées. Sophie s'agenouilla devant les parties génitales meurtries d'Hélène et essaya de calmer le feu avec sa langue. Sa langue courait de l'anus au clitoris, s'arrêtant pour s'introduire dans le vagin. Hélène ne cessait de jouir en poussant de longs gémissements, le visage de Sophie était recouvert de mouille. Ensuite, les jambes d'Hélène furent rapprochées puis détachées. Sophie l'aida à descendre de la table, l'a soutena car elle avait du mal à tenir sur ses jambes. Le vidéaste fit un gros plan sur le visage défait par la soufrance et le plaisir. Hélène me souria. La cassette s'arreta.

Mon sexe était dur et me faisait mal. Je rembobinnais la cassette et me la repassait en me masturbant. Hélène malgré ses cris semblait prendre du plasir.

Mais qu'allait-il encore lui arriver? Seule la première soirée s'était passée.

A suivre

Bertrand

 

Cette histoire a été écrite par un visiteur qui m'a permis de l'afficher...  

 

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