Théorie sur l’électricité
Quelques mots à propos de l’importance de la fumée
Par Joseph Lucas, Prince des Ténèbres
Le bon fonctionnement de tous les composants électriques et faisceaux dépendent du bon fonctionnement d’un circuit chargé de la transmission d’un point A vers un point B d’ions chargés dont la manifestation physique est connue sous le nom de « fumée ».Ne vous laissez pas abuser par de pseudos-scientifiques qui vous parleraient d’electrons excités et autres fariboles.La fumée est la clé de voute de toute installation électrique.
On peut vérifier facilement cette affirmation : tout circuit electrique laissant s’échapper une grande quantité de fumée cesse aussitôt de fonctionner.Un test simple consiste à poser une barre de cuivre entre les pôles + et – d’une batterie bien chargée : une rgande quantité de fumée se dégage et la batterie cesse de fonctionner.
De même, si vous constatez qu’une importante quantité de fumée sort de votre régulateur (RB 108 ou autres…)vous observerez que cette pièce cesse aussitôt de fonctionner.
Ces faits sont malheureusement incontournables , la fonction d’un faisceau étant de conduire la fumée d’un composant à l’autre : quand le circuit fuit et laisse s’échapper la fumée, plus rien ne fonctionne.
Les démarreurs électriques sont considérés comme très mal adaptés aux motocyclettes anglaises car ils laissent s’échapper de grande quantités de fumée du circuit électrique.
Il a été remarqué que les composants électriques « Lucas »sont peut-être plus sujets aux fuites que leurs équivalents de marque Bosch, Autolite, ou Nippondenso…
Des experts consultés sur ce point pensent que ces fuites sont dues au fait que la maison Lucas LTD est britannique .Il semblerait que les moteurs britanniques perdent de l’huile , les amortisseurs et fourches perdent du liquide hydraulique, les pneus britanniques perdent de l’air et les services secrets britanniques perdent leurs secrets…
D’ou l’on peut déduire qu’il est normal que les circuits électriques perdent de la fumée…
Et n’oubliez jamais : »Un vrai gentleman ne fait pas de moto la nuit »
J. Lucas (1842-1903)
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